Le Petit Journal de deux indissociables : la chasse et l'environnement - Chasse, Pêche, Nature et Vénerie -

L’Europe soucieuse devant la (trop ?) bonne santé de Sus scrofa...

L'association ELO, représentant les propriétaires terriens européens, exprime une inquiétude croissante face à la prolifération des sangliers et à ses implications. Selon l’étude, publiée en avril, de l'Université Polytechnique de Madrid, la situation s'est détériorée de manière continue au cours des dix dernières années, soulignant des faits scientifiques solides appuyés par des analyses et des données de terrain. Sus scrofa, plus connu sous le nom de sanglier, maintient une population robuste et adaptable, de l'Espagne aux Pays-Bas et de la France à la République Tchèque. Omnivore et opportuniste, ce mammifère atteint la maturité sexuelle dès 10 mois pour les mâles et vers 7-8 mois pour les jeunes femelles de poids moyen. Le taux de croissance annuel de ces populations varie de 70 à 230 %, selon les conditions environnementales et la disponibilité alimentaire, des chiffres qui démontrent une capacité d'expansion remarquable. À titre d'exemple, Berlin abrite une population estimée à près de 10 000 individus, témoignant de l'adaptabilité du sanglier même en milieu urbain. Cependant, malgré ces observations générales, les données comparatives entre les pays européens restent limitées, bien que la tendance à la croissance soit uniforme. Les scientifiques mettent en évidence un lien direct entre l'évolution des températures moyennes en Europe et l'accroissement des populations de sangliers depuis les années 1980. Les hivers plus cléments, associés à une fréquence accrue de fructifications forestières, favorisent la survie hivernale des jeunes, et contribuent à une reproduction plus soutenue. Cette dynamique démographique est largement influencée par les politiques de chasse adoptées à travers le continent...

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Une plaque à la mémoire du célèbre « Curé de Chapaize »

À Lugny, en Saône et Loire, c'est une véritable légende qui sera honorée avec l'installation prochaine d'une plaque commémorative en l'honneur de l'abbé Nicolas Genost de Laforest, curé de Chapaize, connu pour ses exploits dans le monde de la vénerie. Décédé le 6 octobre 1783 au château de Lugny, à l'âge de 60 ans, cet homme singulier continue d'inspirer admiration et fascination, notamment à travers les récits de chasse qui ont marqué son époque. L'histoire de l'abbé Genost de Laforest reprend vie à travers les mots de Frédéric Lafarge, historien passionné de Lugny : « Invité par le comte de Montrevel à une chasse au sanglier, l'abbé se trouvait dans les bois de Cruzille lorsque Ragotin, son fidèle destrier, fit une chute malheureuse, entraînant son cavalier dans un ravin. Grièvement blessé, mais toujours conscient, l’abbé fut transporté au château où il rendit son dernier souffle le lendemain, laissant derrière lui une légende immortelle de courage et de passion pour la chasse ». Mais ce n'est pas seulement dans les annales locales que l'abbé Genost résonne, c’est aussi à travers la littérature, notamment grâce au marquis de Foudras, propriétaire du château de Demigny. C'est lui qui immortalisa les exploits de l'abbé dans son célèbre roman « Les Gentilshommes chasseurs », un pilier de la littérature cynégétique du XIXe siècle...

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Chevreuil : de très peu à... 10 petits en 5 ans !

Trop souvent ignorée, la variabilité annuelle de la reproduction du chevreuil conditionne fortement l’évolution des populations. Chez le petit cervidé, le taux de survie des faons peut varier de 30 à 85%, selon les années, et les causes de ces fortes variations sont multiples. Tout d’abord, ce taux de survie dépend de leur poids à la mise-bas. En effet, plus le faon est lourd, plus son espérance de survie est élevée. Mais, ce poids de naissance des faons, est lui-même, en grande partie, dépendant du poids de  leur mère. La condition physique de la chevrette a donc une influence déterminante. Le chevreuil a la particularité de ne pas pouvoir stocker plus de 10% de sa masse corporelle en réserve de graisse. Il est donc très sensible aux dérangements pendant la période hivernale, qui lui font consommer tout ou partie de ses réserves, durant les mois d’hiver. Il est bien évident que, dans ces conditions, la chevrette dépérira jusqu’à l’arrivée du printemps, alors que commence seulement, à partir de début janvier, la phase de croissance de l’embryon (fin de la diapause). Au printemps, quand les premiers jours qui suivent la naissance sont passés, la survie du faon va dépendre de la qualité de la nourriture présente sur le territoire. Une sécheresse importante à ce moment-là est bien souvent catastrophique pour les jeunes. Les études menées sur le territoire expérimental de Chizé, ont bien montré que cet épisode sec a ponctuellement, et pendant plusieurs années ensuite, un impact conséquent sur les populations. L’effet cohorte, à savoir l’influence d’une génération sur la suivante, fait qu’un petit faon donne une petite chevrette et ainsi de suite. Au niveau alimentaire, contrairement à ce que l’on peut habituellement penser, les pluies estivales profitent aux faons, à la condition cependant qu’elles ne soient pas trop excessives. L’eau permet à la végétation de se développer et d’apporter une ressource alimentaire riche, aussi bien aux jeunes qu’aux adultes. La croissance des faons est alors favorisée par deux facteurs, l’abondance du lait de la mère et la qualité de l’herbe.

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Clé de la réussite : le bon réglage d'une lunette de visée

À quelques jours de l'ouverture de la saison de chasse d’été (brocards et sangliers), il est important de s'assurer que l’arme qui sera utilisée est parfaitement opérationnelle. Le réglage d'une lunette de visée est donc une étape essentielle pour garantir la précision des tirs. Voilà quelques conseils pour effectuer ce réglage de manière efficace et sécurisée. Certains chasseurs, véritables perfectionnistes, préfèrent se rendre régulièrement au stand de tir pour ajuster leur équipement. Cette méthode, bien que rigoureuse, assure un réglage précis grâce à des cibles standardisées placées à des distances vérifiées de 50 à 100 mètres. C'est également une opportunité pour bénéficier des conseils avisés d'autres tireurs expérimentés. Pour d’autres chasseurs, confier le réglage de leur lunette à un armurier est une pratique courante. Cependant, il faut savoir que chaque tireur a une approche unique lorsqu'il s'agit d'épauler et de manipuler une arme, ce qui peut influencer le point d'impact. Il est donc recommandé, après le travail de l’armurier, de vérifier et ajuster le réglage si nécessaire, lors d'un tir d'essai personnel. Enfin il reste ceux qui préfèrent effectuer le réglage directement sur le terrain, souvent avec des cibles improvisées, (boîtes de conserve, morceaux de papier, panneaux de bois...) attachés à un arbre. Cette méthode, bien que pratique, peut être aléatoire et manquer de sécurité, surtout en l'absence de tir fichant pour éviter les ricochets et les dommages à l'environnement...

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2024 : année record de quantité de forêts détruites...

En 2024, la planète a connu une perte record de forêts tropicales primaires, principalement due à une augmentation des incendies. Selon les données du laboratoire GLAD, de l'université du Maryland, publiées sur Global Forest Watch du WRI, ce sont 6,7 millions d'hectares de forêts qui ont disparu. Les incendies, qui ont brûlé cinq fois plus de forêt tropicale primaire qu'en 2023, ont émis 4,1 gigatonnes de gaz à effet de serre, dépassant largement les émissions totales du secteur aérien en 2023. Elizabeth Goldman, du WRI, souligne que cette situation constitue une alerte rouge mondiale, nécessitant une action urgente pour protéger nos écosystèmes et notre climat. Les conditions météorologiques extrêmes de 2024, marquées par une sécheresse sévère amplifiée par le changement climatique et El Niño, ont exacerbé les incendies en Amérique latine et ailleurs. Bien que des feux soient parfois naturels, ils sont souvent allumés pour des pratiques agricoles, aggravant la destruction des forêts primaires essentielles à la régulation climatique mondiale. Le Brésil a été le pays le plus touché, représentant 42 % des pertes mondiales de forêts tropicales primaires. La Bolivie a également subi une augmentation significative de la déforestation, dépassant pour la première fois la RDC, pour se classer au deuxième rang mondial des pertes de forêts. Au-delà des tropiques, la Russie et le Canada ont également enregistré une intensification des incendies, augmentant la perte totale de couverture forestière mondiale de 5%. Les forêts boréales, déjà vulnérables au changement climatique, sont devenues plus sensibles aux incendies, créant un cercle vicieux de dégradation environnementale. Si quelques pays, comme l'Indonésie, ont réussi à réduire la déforestation, les autres n'ont pas atteint les objectifs de conservation fixés lors de la COP30, soulignant l'urgence d'intensifier les efforts.


Chasse de la marmotte : le ministère confirme...

Le 6 mars dernier, le sénateur Arnaud Bazin (Val d’Oise – Les Républicains) interrogeait la ministre de la Transition écologique, de la biodiversité, de la forêt, de la mer et de la pêche, sur l'exploitation des marmottes en France. « En 2016, l'UICN classait la population mondiale et européenne de marmottes dans la liste rouge, population stable, préoccupation mineure. Cette évaluation a conduit Mme la secrétaire d'État auprès du ministre de l'Environnement chargée de la biodiversité à répondre, le 28 septembre 2023 à sa question 0620 : la marmotte n'était pas une espèce menacée ce qui justifiait son exploitation. Or, l'UICN réévaluait en février 2023 (publiée en 2024) l'état de conservation de la marmotte et statuait ainsi : liste rouge, tendance inconnue de l'évolution de la population, déclin continu de l'habitat, tout en précisant cependant que toutes les populations de marmottes des Alpes sont potentiellement menacées par la perte d'habitats ouverts... ». De ce qui précède, il aimerait savoir si le ministère a conscience de l'urgence de retirer la marmotte des espèces chassables et souhaiterait avoir connaissance de tous les arguments légaux justifiant son exploitation. En réponse à la question posée par le sénateur Arnaud Bazin, le ministère de la Transition écologique, de la biodiversité, de la forêt, de la mer et de la pêche, publiait le 15 mai dernier...

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Trompes de chasse Périnet : Yannick Bureau passe la main...

Une nouvelle page se tourne chez l’un des plus prestigieux facteurs de trompes de chasse de France. Après plus de trente ans à la tête de la Maison Périnet, Yannick Bureau a transmis les rênes de l'entreprise. Sur le site de la marque, il exprime ses émotions : « C’est avec une grande fierté et une immense gratitude que je vous annonce un nouveau chapitre dans l’histoire de Périnet. Harald Bosch, maître artisan et compagnon fidèle depuis plus de 20 ans, est désormais le nouveau directeur ». Né à Tübingen, en Allemagne, en 1975, Harald Bosch a découvert sa passion pour la musique et l'artisanat dès sa jeunesse, développant un talent remarquable pour la trompette et le piano. C'est cette fusion entre musique et artisanat qui l'a conduit à devenir facteur d’instruments à vent. Avec près de 30 ans d'expérience dans ce domaine, il a progressé de l'apprentissage à la maîtrise, formant de nombreux jeunes et partageant son savoir à l'école professionnelle jusqu'en 2024. Harald Bosch incarne une expertise qui englobe tous les stades de fabrication : martelage du métal, métallurgie, physique, chimie et acoustique. C’est dans l’ensemble de ces domaines qu’il choisit, et adapte méticuleusement les matériaux pour chaque instrument, garantissant ainsi une qualité sonore exceptionnelle. Sa nomination à la direction est un honneur qu'il accueille avec enthousiasme, déclarant : « C’est un honneur pour moi de reprendre aujourd’hui la maison Périnet ! Pour que toujours vive Périnet, au service des sonneurs et musiciens, vous me trouverez désormais dans les Vosges, où, fidèle à la tradition ancestrale, je continuerai de produire l’excellence ! Vive la musique ! ». Bonne retraite à Yannick Bureau qui, avec encore plein de projets en tête, ne restera pas inactif, et bon vent à Harald Bosch dans ses nouvelles fonctions. Il sera d'ailleurs présent à Fontainebleau, samedi et dimanche prochains, au Grand Parquet, à  Chasse, Pêche, Nature et Vènerie en Fête. Trompes de chasse Périnet, 67 Impasse de Noir Rupt, 88430 Corcieux. Téléphone : 03 29 41 29 25 ou 06 84 46 25 45. Courriel : contact@perinet.fr


La Peste porcine africaine en Europe : un premier bilan 2025...

La PPA continue de poser un défi majeur en Europe, avec un nombre croissant de cas signalés au premier trimestre de 2025. Selon les données du système d'information sur les maladies animales (Adis), plus de 4 400 cas ont été enregistrés chez les sangliers, et 168 chez les porcs domestiques, dans 17 pays européens. Cette situation souligne une augmentation significative par rapport à la même période de l'année précédente, avec des pays comme la Pologne, l'Allemagne et la Lettonie en tête, pour les cas comptabilisés chez les sangliers. La Pologne, avec ses importantes populations de bêtes noires, a signalé une augmentation marquée des foyers, suivie de près par l'Allemagne où la maladie continue de se propager, malgré les efforts de contrôle intensifiés. En Lettonie, une situation similaire préoccupe les autorités vétérinaires, illustrant la complexité de la gestion de cette maladie virulente. Cependant, c'est la situation chez les porcs domestiques qui suscite une inquiétude particulière. La Roumanie a rapporté plus de 100 foyers depuis le début de l'année 2025, représentant près de la moitié des cas enregistrés durant toute l'année précédente. Cette augmentation spectaculaire met en lumière les défis persistants auxquels le secteur porcin roumain est confronté malgré les mesures de biosécurité renforcées. De même, la Moldavie a vu ses cas de foyers passer de 13 en 2024, à 31 au cours du premier trimestre de 2025, marquant une augmentation de plus de 200 %. Cette tendance alarmante reflète les difficultés croissantes à contenir la propagation de la maladie dans les élevages domestiques. D'autres pays comme l'Ukraine, la Serbie et la Bosnie-Herzégovine ont également signalé des foyers, illustrant l'ampleur géographique de la crise. Par contraste, certains pays, qui avaient été touchés l'année précédente, tels que l'Allemagne, la Bulgarie, l'Estonie, la Grèce, la Lituanie et la Macédoine, n'ont pas rapporté de nouveaux cas au premier trimestre de 2025, ce qui témoigne des efforts de prévention et de contrôle en place. Cependant, des cas isolés ont été signalés en Croatie et en Italie, rappelant la persistance du risque malgré les mesures de surveillance rigoureuses.


Chasse, Pêche, Nature et Vénerie : la ruralité en fête le week-end prochain à Fontainebleau

Le week-end prochain, le Grand Parquet de Fontainebleau sera une nouvelle fois le théâtre d’une grande célébration de la ruralité française. La 23e édition de « Chasse, Pêche, Nature et Vènerie » réunira passionnés, familles, professionnels et curieux, dans une ambiance festive et respectueuse des traditions. Bien plus qu’un simple rassemblement cynégétique, cet événement rend hommage à un patrimoine vivant, à une culture séculaire enracinée dans les campagnes françaises, et à une relation unique entre l’homme, l’animal et la nature. Installée dans le cadre majestueux de la forêt royale de Fontainebleau, cette manifestation est une véritable vitrine de la ruralité dans ce qu’elle a de plus noble : l’authenticité, la transmission, le respect de l’environnement, et le savoir-faire. Les traditions de la vénerie, souvent mal comprises ou caricaturées, y sont présentées dans toute leur richesse : disciplines équestres, dressage canin, tenue vestimentaire, musique de chasse, symbolique religieuse… autant d’éléments qui composent un univers cohérent, exigeant et profondément humain. Tout au long du week-end, les visiteurs de tous âges pourront découvrir un programme varié et accessible. Les démonstrations de fauconnerie et d’archerie raviront les amateurs d’histoire vivante. Les enfants, eux, trouveront leur bonheur avec les balades à poney, les animations pédagogiques autour des chiens et des chevaux, ou encore les présentations d’équipages de chasse à courre, impressionnantes de coordination et de discipline. Les concours de trompes de chasse sont toujours des moments forts, porteurs d’émotion et de solennité, avec cette année plus de 500 sonneurs. À cela s’ajoutent des compétitions de haut niveau, tel le championnat de France du cheval de chasse, les régionale et nationales d’élevage (chien d'ordre, Jack Russel, Retrievers, Wachtelhund) qui attestent de la rigueur et de l’excellence des acteurs de la vénerie. Le dimanche matin, la messe de Saint-Hubert au son des trompes de chasse, rappellera le lien spirituel et moral qui unit les veneurs à leur pratique... Plus que jamais, cette édition 2025 de « Chasse, Pêche, Nature et Vènerie » doit être un moment de visibilité, de fierté et de transmission. Face aux défis contemporains, la ruralité n’est pas un vestige, mais une richesse. Elle incarne un rapport apaisé à la nature, une culture de l’effort, du lien et du vivant. Fontainebleau, ce week-end, sera le cœur battant de cette France des campagnes, des traditions et de la liberté.

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Julien Compère (FN Browning) en déplacement à Saint-Etienne...

À Saint-Étienne, Julien Compère, président de FN Browning Group et candidat à la reprise de Verney-Carron, s'est entretenu avec l'administrateur judiciaire, les représentants du personnel et le maire de la ville. Cette rencontre marque une étape clé dans le processus de consolidation du secteur de l'armement du groupe belge, particulièrement dans le domaine du petit calibre, où ses concurrents ont déjà pris des initiatives similaires. Pour FN Browning, l'intérêt pour Verney-Carron va au-delà de l'aspect commercial. La marque française détient un potentiel de croissance significatif dans un marché de la chasse en légère décroissance, et du tir sportif en expansion. En associant Verney-Carron à des marques renommées comme Browning et Winchester, FN Browning espère non seulement diversifier son offre, mais aussi capitaliser sur l'expertise et le savoir-faire localisé à Saint-Étienne. Outre les aspects commerciaux, l'acquisition de Verney-Carron ouvrirait également des opportunités dans le domaine de la sécurité, notamment avec des produits comme le Flash-Ball, complémentaire au lanceur 303 de FN Browning. Sur le front militaire, FN Browning est également attentif aux opportunités offertes par le partenariat militaire franco-belge, envisageant des synergies potentielles pour répondre aux appels d'offres dans le domaine des munitions de petit calibre. Julien Compère a souligné l'importance de garantir la pérennité de Verney-Carron et de ses employés, et s’est engagé à assurer un avenir stable pour les salariés, tout en réaffirmant la nécessité de rationaliser les opérations pour améliorer la rentabilité. En clair, cela laisse entendre que 40 des 67 employés pourraient être maintenus dans cette transition.


La Fête de la Nature

La Fête de la Nature revient pour une nouvelle édition, du 21 au 25 mai 2025, invitant chacun à célébrer et à découvrir la richesse de notre environnement naturel à travers des milliers d'événements gratuits organisés partout en France. Cette manifestation nationale offre une occasion unique de s'immerger dans la nature, que ce soit à travers des balades guidées, des ateliers pédagogiques, des observations de la faune et de la flore, ou encore des chantiers participatifs. Elle réunit un vaste réseau d'acteurs engagés, incluant des associations de conservation, des collectivités locales, des établissements scolaires, des entreprises, et des citoyens passionnés, tous mobilisés pour reconnecter les gens avec notre patrimoine naturel. Chaque événement proposé lors de la Fête de la Nature est conçu pour offrir des moments enrichissants et accessibles à tous, indépendamment de l'âge ou des connaissances préalables. C'est une opportunité exceptionnelle de sensibilisation aux enjeux environnementaux contemporains et de mettre en lumière les trésors naturels parfois méconnus de nos régions. Que vous résidiez en ville, à la campagne, en montagne, ou sur le littoral, des activités variées vous attendent pour célébrer la beauté et la diversité de notre environnement naturel. Ne manquez pas cette occasion de rejoindre cette grande fête citoyenne et de contribuer à un mouvement national en faveur de la préservation de la biodiversité.

 

Pour découvrir le programme complet et participer à cette célébration nationale de la biodiversité, c’est ICI