- Les métiers de l'Armurerie : Lycée Professionnel Benoît Fourneyron à Saint-Etienne -

Le gel de la collaboration russe perturbe le flux de données sur le pergélisol…

Le réchauffement accéléré de l'Arctique menace de faire fondre de plus en plus de pergélisol, riche en carbone, et de libérer de grandes quantités de gaz à effet de serre. Plus de la moitié de ce pergélisol se trouve sous le sol russe, où les scientifiques travaillent depuis longtemps au sein d'une communauté de recherche internationale qui partageait librement ses stations de terrain, ses capteurs climatiques et ses ensembles de données, pour mieux comprendre les impacts planétaires de cette région polaire en évolution rapide. Mais, depuis le début du conflit russo-ukrainien, le gel des collaborations entre les scientifiques russes et la communauté scientifique internationale perturbe les flux de données et paralyse la communauté de la recherche polaire. Malgré les incertitudes de l’avenir, les scientifiques sont déterminés à combler le manque de données grâce à des solutions telles que le basculement vers des sites de terrain « proxy », l’intensification de la télédétection avec l’IA, et l’exploitation des données archivées pour obtenir de nouvelles informations, bien que la priorité des scientifiques reste la réintégration de la recherche russe dans cette communauté scientifique. Les chercheurs sont particulièrement désireux de savoir quand un point de basculement dangereux pourrait être atteint, susceptible de déclencher la libération de grandes quantités de gaz à effet de serre stockées dans les sols gelés. Parfois appelé « congélateur mondial », le pergélisol est un mélange superficiel et souterrain de sols, de roches, de sédiments, de matière organique et de glace, qui reste en dessous de 0° Celsius (32° Fahrenheit). On estime que ce terrain, en grande partie caché, recèle environ 1 700 milliards de tonnes de dioxyde de carbone et de méthane, soit environ un tiers du réservoir de carbone stocké dans les sols du monde entier.

Selon le Sénat, l'OFB est trop répressif

La mission d'information lancée début mars par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat, a déjà procédé à une quinzaine d'auditions, selon son rapporteur Jean Bacci (Var), dont celle de la présidente de l'établissement public, Sylvie Gustave-dit-Duflo, et son directeur général, Olivier Thibault. L’Office, qui compte aujourd’hui 3 000 agents, 270 implantations et dispose d'un budget de 650 millions d'€ en 2024, est chargé de la police de l'environnement, priorisation des missions au regard des objectifs que lui a assignés le législateur. De ces premières auditions, le rapporteur a indiqué tirer trois constats provisoires :

- l'OFB est un établissement public à forte notoriété, mais dont les missions ne sont pas toujours bien appréhendées par les acteurs économiques, « en raison d'une image trop fortement associée au volet répressif » ;

- la création de l'OFB a généré d'importantes attentes en termes d'accompagnement, de sensibilisation et de pédagogie « auxquelles il ne répond encore qu'imparfaitement » ;

- les relations se réduisent trop souvent aux interactions entre le contrôleur et le contrôlé, « ce qui nourrit l'image d'un établissement répressif ».

Autre constat du sénateur, et qui va à l'encontre des critiques formulées par les organisations agricoles sur la pression de contrôle opérée par l'établissement public : « Les agents de l'OFB sont trop peu présents sur le terrain… ». Réponse d’Olivier Thibault, directeur de l'OFB : « L’Office ne travaille pas contre les agriculteurs, et on passe notre temps à essayer de trouver des moyens de conciliation entre les politiques publiques, alimentation et agriculture, eau potable, énergie renouvelable, etc… évidemment, en protégeant l'environnement. Mais aujourd'hui, on n'est collectivement pas bon, puisque la biodiversité continue à s'effondrer », a-t-il tenu à préciser devant les sénateurs. La mission d'information présentera les résultats de ses travaux et ses recommandations courant juin, après de nouvelles auditions et un déplacement, dans le Var, pour « rencontrer des acteurs et des agents de l'OFB sur le terrain ».

Le retour des chenilles processionnaires

Très présentes ces dernières années pour cause de sécheresse, les chenilles processionnaires réapparaissent dans les forêts et jardins, principalement sur les chênes. Selon les années, la présence et l’abondance des parasites est variable, et dépend surtout de la température ambiante, et de la quantité et qualité de nourriture disponible pour les jeunes chenilles. Urticante pour l’homme, la plupart des contaminations peuvent être traitées de manière symptomatique, mais cette chenille peut aussi provoquer une éruption cutanée douloureuse, avec de fortes démangeaisons. En cas de vomissements, de vertige et de fièvre, il est donc conseillé de consulter, car un choc anaphylactique peut mettre la vie en danger. En forêt, sur les arbres atteints, les poils urticants peuvent persister des années, après la disparition de la chenille. L’intervention d’un professionnel est donc préférable pour éradiquer les nids. Si vous avez à faire face à une invasion de chenilles, évitez de vous en approcher. L’utilisation d’éco-pièges est conseillée, mais on peut également favoriser l’installation, à proximité, de leur prédateur naturel comme les mésanges, ou encore utiliser des bactéries naturelles à injecter sur les branches atteintes. Dès le début de l’été, un piège à phéromones, pour attirer les mâles, pourra aussi être mis en place. 

« J’aime la Nature Propre » : franc succès pour l’édition 2024

Dans son communiqué, la FNC fait le bilan de cette opération citoyenne de ramassage de déchets, cofinancée pour une partie par l’OFB, via le dispositif écocontribution. Cette année, plus de 92 fédérations ont participé à l’opération qui a regroupé 140 000 bénévoles dont 40 000 enfants, et 16 000 m3 de déchets ont été collectés sur 3 200 sites. Au-delà de son objectif environnemental et pédagogique, « J’aime la Nature Propre » a également vocation à favoriser les échanges entre les usagers de la nature. Née de la volonté de la FNC, en 2021, de rassembler en un seul projet d’envergure deux initiatives antérieures (Fleuves et Rivières Propres), le président de la FNC a déclaré : « Je suis fier que cette opération écocitoyenne prenne autant d’envergure depuis 2021. Cette édition 2024 est un grand succès… Merci à tous les bénévoles qui se sont retrouvés sur les points de ramassage. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine… ».

Comment se portent les forêts françaises ?

C'est curieusement l'OFB qui affiche ce document sur son site, faisant état de la situation dans les forêts françaises. L'ONF n'aurait-il plus les compétences pour le faire ? Toujours est-il que l'on peut y lire ceci : « Quel est l’état actuel de la biodiversité des forêts en France ? Quelles sont les pressions qui s’exercent sur elle ? À l’occasion de la journée internationale des forêts, l’OFB propose un état des lieux de la situation, en lien avec la nouvelle publication thématique sur les forêts de l’Observatoire national de la biodiversité... Lieu de vie et refuge pour de très nombreuses espèces, les milieux forestiers comptent parmi les écosystèmes terrestres les plus riches en biodiversité. Appréciées pour leurs valeurs, paysagère, patrimoniale ou culturelle, les forêts sont ancrées dans l’imaginaire collectif et ont été façonnées par les activités humaines... Après avoir atteint sa surface minimum dans les années 1830, la superficie de la forêt dans l’Hexagone progresse, et a doublé depuis le milieu du 19ème siècle. Cette tendance positive s’explique entre autres par la déprise agricole, par le développement de sources d’énergies alternatives au bois, et la mise en œuvre de programmes de reboisements massifs... Aujourd’hui, les forêts françaises occupent 31% du territoire hexagonal (2018) et 84% en Outre-mer (2020)...»...

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42 lions, 20 éléphants et 4 rhinocéros = 30 ans de prison

Un braconnier mozambicain a été condamné, jeudi dernier, à 30 ans de prison après avoir été reconnu coupable de crimes contre des animaux protégés par la loi du pays. Il lui a été reproché d’avoir tué illégalement, et pour en faire le commerce, au moins 42 lions, 20 éléphants et 4 rhinocéros. Pris la main dans le sac, il tentait de vendre la viande de brousse et les trophées à des citoyens d'origine asiatique, selon le rapport qui cite la décision du tribunal de la ville de Maputo. Une perquisition, menée au domicile de l'accusé, avait permis aux enquêteurs de découvrir plus de 600 kg de produits provenant d'espèces protégées, ainsi que 14 crânes de lion, 128 paquets de queues de lion, 88 griffes de lion, 57 kg d'os de lion répartis en trois sacs, 55 défenses d'ivoire, 74 os d'éléphant et 24 mâchoires de lion. Cerise sur le gâteau pour le braconnier, en plus des années de prison, il a également écopé d’une colossale amende pour « blanchiment d'argent, détention d'espèces interdites et abattage d'animaux protégés ». C’est la dissuasion au prix fort !

Journée mondiale de l’eau

A l’occasion de cette journée qui a été célébrée partout dans le monde vendredi dernier, le réseau des sites « Ramsar » français s’est agrandi, au titre de la Convention internationale sur les zones humides. Le site des Marais et Tourbières des montagnes du Bugey (Ain) est labellisé et celui du Lac du Bourget-Marais de Chautagne au Marais de Lavours (Ain, Savoie) est étendu. Le nouveau site, d’une superficie totale de 1 050 hectares, s’étend sur les montagnes du Bugey, au sein des plis du massif jurassien. Les conditions géologiques ont favorisé la présence d’un réseau de zones humides, lacs et tourbières encore assez bien préservé et d’une grande richesse écologique, dont deux caractéristiques majeures : une altitude supérieure à 750 mètres et la présence de systèmes tourbeux et marécageux. Il est également riche de flore, (Liparis de Loesel, iris de Sibérie, œillet superbe, gentiane pneumonanthe…) et de faune (bécassine des marais, azuré de la Sanguisorbe, azuré des paluds, écrevisse à pattes blanches…). Quant au site « Lac du Bourget – Marais de Chautagne et de Lavours », labellisé en 2003, il gagne près de 1 500 ha qui englobent le marais de Lavours (l’un des derniers grands marais continentaux d’Europe occidentale), les îles de la Malourdie et de nouveaux secteurs du marais de Chautagne. Avec le Lac du Bourget, plus grand lac d’origine naturelle de France, et les deux marais de Chautagne et de Lavours, ce nouveau site présente une forte cohérence écologique et fonctionnelle, mais aussi historique, du fait de l’interconnexion de l’ensemble par la nappe phréatique du Rhône.

CIC : un nouveau chef de délégation pour le Kazakhstan

Biologiste de la faune, Aibat Muzbaz a rejoint le CIC à la tête de la toute nouvelle délégation du Kazakhstan, reflétant le réseau et la présence croissants du CIC en Asie centrale. Ce scientifique a consacré les sept dernières années aux efforts de conservation de la faune au Kazakhstan tout en plaidant activement en faveur de pratiques d'utilisation durable. « Je crois fermement qu’une conservation réussie de la faune implique plus, que la simple protection des espèces. Cela nécessite d’éduquer les individus et les organismes gouvernementaux sur l’utilisation durable des ressources… » déclarait-il lors de sa prise de fonction. Puis, parlant de ses projets pour la délégation, Aibat Muzbaz a souligné son objectif principal d'amplifier la culture de la chasse et les voix des chasseurs, tout en favorisant l'appréciation des pratiques d'utilisation durable. Il a également souligné la nécessité de parvenir à l’harmonie entre les humains et la faune sauvage comme une question d’importance vitale. « Afin d'atteindre ces objectifs, la délégation connaîtra une expansion et des renforcements actifs, avec l'ambition de recruter des scientifiques et des experts en politiques publiques, ainsi que des chasseurs, en tant que membres du CIC. Le Kazakhstan possède un large éventail d'espèces sauvages et, avec la mise en œuvre de stratégies appropriées, nous avons le potentiel de servir de modèle à de nombreux pays en développement » devait-il ajouter.

« Alliance rurale » : c’est la débandade !

Les prochaines élections européennes tournent au cauchemar pour la liste « Alliance rurale », et le plaquage de l’ex-rugbyman du Stade Toulousain, Louis Picamoles, qui vient lui aussi de quitter la barcasse qui prend l’eau de toutes parts, ne va rien arranger. Il avait rejoint le mouvement en décembre dernier déclarant à l’époque : « C’est une opportunité de découvrir un monde que je ne connais pas ». Apparemment, il apprend vite, comme Laurent Jaoul, Jean-Michel Ladet, Robert Margé, et Henri Itier, tous originaires d’Occitanie, qui ont pris une décision identique. Si certains invoquent des raisons personnelles et professionnelles, d’autres affirment clairement des motifs politiques, dénonçant notamment le processus de désignation de Jean Lassalle comme tête de liste. Willy Schraen en est donc réduit à regarder le bout de ses chaussures, responsable en grande partie de ce fiasco politique, crédité de 0,5% des voix le 9 juin prochain, selon un récent sondage Ipsos-Cevipof-Institut Montaigne-Fondation Jean-Jaurès. Mais qu’à cela ne tienne, Jean Lassalle en a vu d’autres, et en vieux bosco expérimenté, il va pouvoir faseyer à sa guise, heureux d’avoir trouvé une place de tête d'affiche, dans cette pièce de théâtre qui sera probablement le « navet » de l’année…

Les prochaines étapes pour la conservation et la gestion du loup en Europe

L'intergroupe « Biodiversité, chasse, campagne » du Parlement européen, en collaboration avec la Fédération européenne pour la chasse et la conservation (FACE) et l'Organisation européenne des propriétaires fonciers (ELO), a organisé, la semaine dernière, un événement en ligne qui a été suivi par plusieurs centaines de personnes, preuve que le loup est, partout en Europe, au centre des préoccupations. Un panel d'intervenants de haut niveau composé de membres du Parlement européen, de la Commission européenne, d'experts en conservation de la faune sauvage et de parties prenantes concernées ont partagé leurs points de vue sur les défis et les opportunités pour la conservation et la gestion du loup en Europe. Une grande partie des discussions a tourné autour de la proposition de la Commission européenne visant à modifier le statut international des loups dans le cadre de la Convention de Berne. Les mots forts des intervenants :

 

- Alberto Arroyo Schnell, responsable du programme et des politiques au Bureau européen de l'UICN, modérateur de l'événement : « Grâce aux efforts de conservation réussis, les populations de loups ont considérablement augmenté au cours des deux dernières décennies. Compte tenu du rôle important qu’ils jouent dans nos écosystèmes, nous devons réfléchir à la manière de coexister avec eux... ».

- Elsi Katainen (Finlande), députée européenne : « J'accueille chaleureusement la proposition de la Commission sur le changement de la Convention de Berne... En tant que décideurs politiques, nous nous souvenons toujours des connaissances scientifiques et des développements et améliorations récents. C'est aussi la question qui se pose aujourd'hui avec les populations de loups [..] et la situation est très différente de celle d'il y a 30 ans. Assurer une gestion strictement réglementée et durable […] serait un outil supplémentaire pour assurer l’inclusion et l’autonomisation des populations rurales tout en garantissant la conservation du loup »…

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Les faits divers de la semaine

- Ardèche : le procès de Manuel Merlhiot, soupçonné d'avoir tué sept chiens de chasse le 20 décembre dernier à Chanéac, devait se tenir mardi dernier 19 mars, au Tribunal judiciaire de Privas. Mais compte tenu de l’ampleur de l’affaire, il a été repoussé au 19 novembre 2024, au motif que ce procès risque de durer plus longtemps que prévu, vu le nombre de parties civiles, et les nouveaux éléments que la défense souhaite apporter.

 

- Bouches du Rhône : probablement lâchés volontairement à Marignane il y a une quinzaine d’années, des porcs se sont reproduits, et ensauvagés à moitié, sous les regards bienveillants des protecteurs des animaux qui les nourrissaient. Mais leur prolifération a poussé les plus curieux toujours un peu plus loin, y compris dans la ville, près d’une zone commerciale. Acculée, la mairie de Marignane avait organisé une vaste opération de castration pour tenter d’endiguer la prolifération de ces animaux. Un partenariat avait même été passé avec l’association « Krokmou », spécialisée dans la protection des animaux abandonnés et errants, pour tenter d’enfermer les bêtes dans des enclos, mais sans succès. Le problème était donc loin d’être réglé, puisque, selon la mairie de Marignane, en décembre dernier, pas moins de 600 cochons ont été dénombrés dans la ville. Craignant que ces divagations ne causent des accidents de la route, la municipalité avait finalement procédé à l’euthanasie de 350 cochons sauvages en décembre dernier. Le cœur sur la main, et la main en quête de dons de généreux donateurs, la Fondation Brigitte Bardot, fière de cet exploit, a pris en charge 125 de ces cochons, et a placé ces animaux « qui ne sont pas à jour du point de vue sanitaire, qui ne sont pas vaccinés, pas suivis, pas identifiés » dans une exploitation du nord du département… Légalement, on devrait pouvoir mieux faire ! D'après nos information, il y en aurait encore une centaine en divagation...

 

- Dordogne : leur précédente lettre envoyée à la FDC étant restée sans réponse, une trentaine de responsables de sociétés de chasse ont signé un nouveau courrier pour dénoncer les augmentations financières, notamment celles liées aux dégâts de grand gibier. Lancée fin février dans le Bergeracois et le Montponnais, la fronde des présidents de société de chasse ne s’est pas calmée, loin de là. Motif de la fronde : une hausse de 300 %, pour certains, de la contribution territoriale due au titre des dégâts du grand gibier.

- Gard : dimanche dernier, dans la matinée, les sapeurs-pompiers ont procédé à un sauvetage un peu particulier. Quatre sangliers étaient piégés dans le canal BRL, entre Bellegarde et Saint-Gilles. Mais l'équipe animalière, ce sauvetage accompli, a dû faire face à une vindicte passagère, puisque les bêtes noires, peu reconnaissantes des efforts déployés pour les sortir de l’eau, ont chargé leurs sauveteurs. Tout le monde est reparti de son côté sain et sauf, même les sangliers qui ont rapidement rejoint les couverts environnants.

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Les Français disent « oui » à la chasse

Dans la série des enquêtes consacrées à la chasse dans les pays européens, la dernière en date, menée par YouGov, a dévoilé des informations significatives sur la perception qu'a le public français de la chasse, y compris les pratiques qui consistent à conserver des parties d'animaux chassés légalement comme souvenirs, souvent appelées « trophées ». Cette enquête, commandée par la Fédération Nationale des Chasseurs, en coopération avec la FACE, cherchait à comprendre l'acceptation générale de la chasse dans les cadres légaux et réglementaires en France et à l'étranger. Dans ses principales conclusions, YouGov précise :

- Acceptation générale de la chasse : une majorité de la population française, avec 70% d’avis favorables, se déclare d'accord ou neutre, et soutient l'idée de la chasse, à condition qu'elle soit pratiquée légalement et dans le respect des lois et réglementations locales. Cela démontre un niveau considérable d’acceptation et de compréhension de la chasse en tant qu’activité réglementée dans le pays.

- Familiarité avec les pratiques de chasse : plus de la moitié des répondants (54%) ont déclaré être au moins assez familiers avec les pratiques et les lois de chasse en France, soulignant une conscience générale de la chasse en tant qu'élément du paysage culturel et juridique.

- Soutien à la chasse et à la conservation internationales : interrogés sur l'acceptabilité de ramener chez soi des parties d'animaux chassés légalement à l'étranger (peaux, bois, cornes, dents…), à condition que ces pratiques contribuent aux efforts de conservation et respectent les réglementations internationales, 58% des personnes interrogées étaient d'accord ou neutre. Cela reflète une compréhension et une acceptation nuancées du rôle de la chasse dans les efforts de conservation et de ce que l’on appelle souvent la chasse aux « trophées »…

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