Pendant que Marine Tondelier, la cheffe des verts, celle qui avait déclaré : « J’ai mes poules. Je ne mange plus de viande depuis 15 ans. Je ne prends plus l’avion. Je me chauffe à 19 degrés… » se fait étriller pour son voyage aérien à Cayenne, afin d’aller revoir comment pousse l’arbre symbolique du travail des écolos guyannais, une trentaine de ces huluberlus écolos anti-bassines lançaient, lundi dernier, des graines sur la préfecture à Vannes, à l’appel du comité local des Soulèvements de la terre, pour commémorer la manifestation contre les méga-bassines à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), qui avait eu lieu un an plus tôt. Ils ont déjà oublié, ces illuminés, que depuis une quinzaine d’années, ils ont fait déconstruire des ouvrages qui retenaient l'eau sur les rivières et fleuves, au titre de la continuité écologique, qui d'ailleurs, n'avait jamais été interrompue. Et que nous sortent-ils aujourd'hui ? Que, pour retenir l'eau qui s’écoule vers les mers et océan deux fois plus vite qu’avant ces déconstructions, il faut faire appel aux castors, grands constructeurs de barrages, et lancer une campagne pour sa réintroduction en masse. Les anciens, qui connaissaient la valeur du précieux liquide autrement qu’en actionnant un robinet, auraient certainement dit : « Y’a des coups de pied au c.., qui se perdent ! ».