" Je sonne de la trompe" par Sylvain Oudot et Guyaume Vollet

Destiné à l`apprentissage progressif de la technique pour la trompe en ré, cet ouvrage s’adresse aux apprenants, débutants ou moyens, ainsi qu’aux enseignants. Forts de leurs expériences respectives, les deux auteurs proposent un condensé de leur approche de l'enseignement de la trompe, complété par trois recueils d’études, d`exercices et de fanfares traditionnelles déjà disponibles dans la même édition « Tempo Music Club ». La méthode est d'autant plus profitable qu`elle s’enrichira des conseils avisés et personnalisés d’un professeur. Les phases successives d`apprentissage sont présentées en quatre chapitres qui correspondent à la chronologie d`enseignement : 1) la gestion de l’air ; 2) la diction et l’ornementation ; 3) l’expression ; 4) les pupitres. Comme le précisent les auteurs : « La rédaction de cet ouvrage se veut simple et efficace. Nous avons choisi de ne pas illustrer nos propos par des planches techniques ou anatomiques savantes, préférant orienter le lecteur vers des vidéos intéressantes dont les liens sont fournis en fin de recueil. Ce vecteur moderne de connaissances, utilisant l’animation 3D, présente l`avantage d’être à la fois explicite et ludique. Des exercices annexes ont été sélectionnés dans le but de susciter un « ressenti » chez l'apprenant. Ils peuvent être complétés par d`autres exercices, selon les recommandations des professeurs. Évidemment, la méthode devra être adaptée par le lecteur ou le pédagogue de façon appropriée pour l'élève, selon sa morphologie, ses capacités physiques et son niveau d’avancement dans l`apprentissage de l'instrument ».

 

Pour se procurer ce Traité de technique usuelle et Exercices pratiques : c'est ICI 

 

 

Notre-Dame-des-Landes : les contribuables ont eu chaud…

On se souvient de la sinistre plaisanterie de Notre-Dame-Des-Landes, objet de vives tensions entre les initiateurs du projet de construction d’un aéroport, et les opposants, les fameux « zadistes » qui ont occupé la zone, en y laissant les traces « écologiques » encore visibles aujourd’hui. Retour sur un demi-siècle d’histoire mouvementée :

- 1965 : le préfet de Loire-Atlantique recherche un site pour un nouvel aéroport dans le Grand Ouest afin d’accueillir l’avion de l’avenir, le supersonique Concorde. Notre-Dame-des-Landes est retenue en 1967, parmi dix-sept zones, et le Comité interministériel d’aménagement du territoire (CIAT) valide ce choix en 1970.

- 1974 : une zone d’aménagement différé (ZAD) de 1 225 hectares est instituée. Grâce à cette disposition juridique, le Conseil général de Loire-Atlantique peut acquérir progressivement les terrains. Puis… le silence s’installe.

- 2000 : le Premier ministre Lionel Jospin relance le projet de la ZAD, mis en sommeil pendant plus de 25 ans. Un débat public n’apporte aucun consensus.

- 2008 : un décret déclarant le nouvel aéroport d’utilité publique (DUP) est publié le 10 février 2008 au Journal officiel, après l’avis favorable de la commission d’enquête.

- 2009 : des militants anticapitalistes commencent à s’installer sur la ZAD en août 2009, après la tenue d’un « Camp action climat ». Les zadistes s’insurgent contre l’impact environnemental du projet…

- 2010 : l’entreprise Vinci remporte l’appel d’offres pour la conception, le financement, la construction et l’exploitation du futur aéroport, pour une période de cinquante-cinq ans…

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Podium 2024 des 50 meilleures écoles vétérinaires du monde

Pour la 10ème année consécutive, le top 50 des meilleures écoles vétérinaires à l’échelle mondiale vient d’être publié. Ces grandes universités internationales sont ainsi comparées et classées dans le « QS World University Rankings », issues d’une vingtaine de pays. Pour la France, deux établissements se retrouvent dans ce top 50 : VetAgroSup de Lyon qui entre dans ce top 50 et prend la 38ème place, et l’ENV d’Alfort, qui, classée 43ème, gagne deux places dans cette prestigieuse sélection. Sur ce podium 2024, le trio de tête ne change pas avec le Royal Veterinary College de Londres (Royaume-Uni) qui conserve sa place de numéro 1, devant l’UC Davis (Californie) classé deuxième, et l’université de Cornell (États-Unis) à la 3e place. Les États-Unis sont toujours en tête du classement des meilleures écoles vétérinaires, avec 16 universités parmi les 50 premières. Le Canada classe 4 universités de sciences vétérinaires dans le top 50 mondial, une de plus que l’an dernier, et le Royaume-Uni reste en tête des pays anglophones situés hors d’Amérique du Nord, avec 7 universités classées parmi les 50 meilleures. En Europe, la France, les Pays-Bas, l’Espagne et l’Italie classent 2 écoles vétérinaires chacun. Les sept autres pays représentés (Allemagne, Belgique, Danemark, Suède, Irlande, Autriche, Suisse) ont chacun 1 établissement classé parmi les 50 premiers. En Océanie, l’université de Sydney (26e) est en recul de 3 places, mais reste l’établissement le mieux classé parmi les 4 aux couleurs de l’Australie. La Nouvelle-Zélande, toujours présente avec l’université de Massey, pointe au 21e rang, gagnant 7 places. Le Brésil, seul pays d’Amérique latine représenté l’an dernier, quitte le classement cette année. Enfin, 2 établissements sont sélectionnés en Asie, avec l’université Putra de Malaisie (40e place) qui grimpe de 6 places, et l’université de Tokyo (Japon) qui recule en 48e position (perte de 14 rangs). L’université de Séoul (Corée du Sud), 49e l’an passé, sort du classement.

Petits travaux d’inter-saison

C’est bien connu, le gibier reste là où il trouve nourriture et quiétude, et quelques petits apports et aménagement peuvent lui faciliter la vie. L’intersaison est propice à ces activités qui peuvent éviter des déplacements massifs d’animaux. En prévision des chaleurs d’été qui, de plus en plus souvent entrainent le tarissement des points d’eau, il faut donc anticiper pour pouvoir apporter, le moment venu, les compléments nécessaires. Commençons donc par les points d’eau… D’après les études réalisées en son temps par l’ONCFS, il faudrait au moins une souille digne de ce nom pour une centaine d’hectares. Si aucun point d’eau n’existe, la création de petites fosses sera cependant utile, à la condition de ne pas garnir le fond avec un film plastique. Trop fragile, il sera rapidement percé par les petits rongeurs ou déchiré par les sabots des ongulés. La vasque bétonnée nécessitera plus de travail, mais résistera même à une forte fréquentation. La mare idéale, pour le sanglier, sera creusée dans un endroit humide. Les dimensions conseillées sont de 6 à 8 m de long sur 5 m de large, avec un seul côté en pente douce. Le point le plus profond sera au maximum de 1 mètre. Ainsi positionnée, le réapprovisionnement en eau de cette mare ne se fera qu’une ou deux fois par an. Le sanglier, s’il trouve nourriture et eau, ne décantonnera pas facilement. L’expérience montre en effet que si toutes les conditions sont réunies, on trouve les compagnies généralement baugées dans un rayon de 300 à 500 mètres des souilles. D’autres points d’eau plus petits peuvent également être créés, et pour les réaliser, il faut tout d’abord creuser une fosse, genre cuvette, aux bords en pente douce. Ensuite, faire un fond en gros cailloux et le recouvrir d’une chape de ciment d’environ cinq centimètres, dans laquelle on aura placé une bande de grillage à petites mailles, ce qui constituera une armature, très utile en cas de fortes gelées. Les dimensions conseillées sont de 3 mètres de côtés, soit une dizaine de m², pour, au plus profond, une cinquantaine de centimètres...

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Dans le cadre de la Fête de la Nature de Gouffern-en-Auge : concours photos avec l’ONF

Les candidatures sont ouvertes depuis le samedi 20 avril et se poursuivront jusqu’au 20 mai 2024. Sur le thème de « La forêt et ses habitants », photographiez-les et participez au concours photos organisé par Terres d’Argentan, l’Office national des forêts et l’ASPTT d’Argentan (section photo), en partenariat avec l’Association faune flore de l’Orne (AFFO), dans le cadre des « 24 heures de la biodiversité et de la Fête de la nature » à Gouffern-en-Auge. Chaque participant proposera au maximum 2 photos en couleur ou en noir et blanc, selon les critères suivants :

- les photographies devront être des œuvres originales ;

- elles ne devront pas avoir subi de transformation (filtres, couleurs trop saturés…), l’esprit initial de la photo sera ainsi conservé ;

- chaque participant s’engage à ce que chaque photo soit prise pendant la période du concours du 20 avril au 20 mai ;

- chaque participant veillera à fournir des tirages d’un format 20x30 cm, collés sur carton en indiquant au dos : nom, prénom et adresse (pas de signature sur la photo ou/et le recto du carton), accompagnés de la fiche d’inscription dument complétée.

Comme ce concours est organisé dans le cadre de la fête de la nature et des 24 h de la biodiversité, les 25 et 26 mai, à Gouffern-en-Auge, le jury se réunira sur le site, au château du Bourg-Saint-Léonard, à 14 heures pour une première sélection, qui constituera une exposition visible le samedi en fin d’après-midi et le dimanche, au cours duquel un vote du public sera organisé sur place, et permettra de désigner les vainqueurs. Les lauréats seront annoncés lors de la clôture de l’évènement à 17 heures. Les photos, primées par le public et le jury, seront mises à l’honneur sur le site internet de l’ONF, et seront publiées dans un numéro du magazine Orne Nature, de l'Association faune flore de l'Orne (AFFO).

 

Pour en savoir plus, c’est ICI

Une gazelle à 6 pattes observée dans le désert israélien

Une gazelle des montagnes, dotée bien malgré elle d’une curieuse particularité, se promène dans la réserve naturelle de Nahal HaBashor, dans le Néguev occidental en Israël, avec… deux pattes surnuméraires sur le dos. Cet animal possède donc six pattes, mais, précisent les autorités, « semble en bonne santé, ce que confirme la présence, aux côtés de ce mâle, de trois femelles dont une suitée de la saison dernière. « C’est un mâle de type Gazella gazella, dont l’espèce est en voie de disparition et figure sur la Liste rouge de l’UICN. Les deux pattes supplémentaires qu’il a sur le dos ne le gêne pas… » a rapporté au « Jerusalem Post » le directeur de la nature urbaine de la SNPI (Société pour la protection de la nature en Israël), Amir Balaban qui a précisé : « La maladie qui cause ce genre de protubérance est la polymélie. Rare et héréditaire, elle fait pousser des membres supplémentaires à des endroits aléatoires sur le corps de l’animal, que l’on appelle des membres surnuméraires. La polymélie est un phénomène connu mais très rare, et c’est la première fois qu’il est observé chez une gazelle israélienne ». D’autres cas ont été recensés dans le monde, tel celui d’une poule thaïlandaise à quatre pattes, ou ce veau français né en 2022 avec deux pattes en plus sur les omoplates…

Jeudi 25 avril : lancement du Plan National d’Actions pour le mouflon de Corse

Le Plan national d’action en faveur du mouflon de Corse sera lancé aujourd'hui, à Corte, par les étudiants du Master Gestion de l’environnement, spécialité ingénierie écologique (INGECO). Il s’agit d’un évènement grand public autour du mouflon, avec conférences, stands, exposition et concours photos. Le mouflon de Corse est une espèce protégée depuis le 1er mars 2019, par un arrêté ministériel qui l’inscrit sur la liste des mammifères protégés de France métropolitaine. Ce statut permet la mise en œuvre d’un plan national d’action sur une durée de dix ans (2024-2033), dont l’objectif est le rétablissement de l’espèce. Le Syndicat mixte du Parc naturel régional de Corse et ses partenaires se sont investis dans la sauvegarde de cette espèce à travers un programme life intitulé : « Conservation et extension des populations de mouflons corses en Corse ». Débuté en 2003, un de ses principaux objectifs visait à recréer un continuum entre la population de Bavella et du Cintu, par la création de nouveaux noyaux de population sur les massifs du Renosu, Monte d’Oru et Rotondu. Un élevage, dans l’enclos de Quenza, à partir d’individus de Bavella, a permis, dès 2013, des lâchers d’animaux à proximité du territoire actuel, afin de conforter cette population dont l’indice de reproduction laissait supposer une extinction à moyen terme…

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Laboratoires officiels et laboratoires reconnus en alimentation et santé animale

Pour la sécurité sanitaire des aliments, l’hygiène alimentaire et la santé animale, les services de contrôle du ministère en charge de l’agriculture s’appuient sur un réseau de laboratoires officiels, constitué principalement par les laboratoires nationaux de référence (LNR) et les laboratoires d’analyses agréés. Les laboratoires nationaux de référence, spécialisés dans un ou plusieurs domaines de compétences, assurent la mise au point et la diffusion de méthodes, la formation technique des laboratoires de terrain, l’organisation d’essais inter-laboratoires, la diffusion de réactifs certifiés, la confirmation de résultats, etc… Quant aux laboratoires agréés, ils réalisent les analyses officielles en santé animale, en hygiène des aliments et en santé des végétaux, mais ils réalisent également les analyses d’autocontrôles dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de l’agriculture. Un fichier national recense toutes les adresses des laboratoires (LNR, agréés ou reconnus), et précise le code d’identification de chaque laboratoire. 

 

Pour voir le droit national en vigueur au 17 avril 2024, c’est ICI

2ème Salon Sud Traditions : plus de 18 000 visiteurs !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après le succès du premier salon « Sud Traditions », cette deuxième édition s’est tenue à la Manade de l’étrier à Saint-Gilles, dans le Gard. Idéalement situé à 10 minutes de Nîmes et aux portes de la Camargue, ce rendez-vous a réservé de belles surprises tout au long du week-end dernier. Avec de nombreux exposants de tous horizons, chasse, pêche, coutellerie, vénerie, artisanat et produits du terroir, une touche locale est venue s’ajouter avec les traditions camarguaises. De nombreux espaces thématiques répartis sur une vingtaine d’hectares (Village Canin, Village Chasse à l’Arc, Village Pêche, Village Coutellerie, Village Gastronomie, Village Traditions Camarguaises, Village Enfants, Village Ball Trap) ont ravi les milliers de visiteurs durant ces deux journées particulièrement festives. Le samedi soir, une soirée bodega exceptionnelle a permis aux très nombreux spectateurs de côtoyer quelques grands noms de l’équitation, dont Julien, de l’Ecurie Volteo qui proposait un spectacle de toute beauté, et Jean Michel Laurora impressionnait le public avec son spectacle de feu, à cheval et à pied. Une magnifique soirée de partage et de convivialité, sur laquelle nous revenons en images…

 

Les palmiers à huile, remède souverain contre la PPA ?

On pourrait le penser à la lecture de l’étude menée par des scientifiques britanniques de l’université d’East Anglia, dont le rapporteur, Jonathan Moore, écrit ceci : « Les populations de cochons barbus et de sangliers ont toutes deux subi de récents effondrements de population, en raison d'épidémies de peste porcine africaine qui ont ravagé certaines parties de l'Asie du sud-est depuis 2018… Or, à proximité des plantations de palmiers à huile, les animaux semblent mieux se porter et montrent une meilleure capacité de reproduction. L'équipe de recherche a découvert que le nombre local de cochons sauvages avait explosé à proximité des plantations, où ils pensent que les animaux tirent d'énormes avantages pour leur forme physique en consommant des fruits de palmier riches en calories. Ils ont une source de nourriture illimitée et peuvent donc se reproduire autant qu'ils le souhaitent. Il n'y a plus de limite à la taille de leur population » ajoute le rapporteur. Et si les fruits des palmiers à huile était un remède contre la PPA ?

Accord FNC / ONF sur les grands ongulés

Une carotte par devant, un coup de bâton par derrière, c’est ce que l’on en déduit à la lecture du communiqué de la FNC, qui vient de conclure, avec l’ONF : « un accord global national relatif à la gestion des grands ongulés dans les forêts domaniales, afin de favoriser l’équilibre forêt-gibier ». La justification semble logique de la part du gestionnaire des forêts de l’Etat, seul détenteur légal du droit de chasse qu’il délègue à des amodiataires (baux), ou à des clients (licences), mais rappelons quelques chiffres : en France, la forêt couvre 17,1 millions d'ha, dont 12,9 millions d'ha de forêts privées, 2,7 millions d'ha de forêts communales et de 1,5 million d'ha de forêts domaniales réparties sur 1300 massifs, soit environ 9% de la surface totale. L'accord qui vient d'être signé ne concernerait donc que ces 9% ? «… Ces dispositifs se fondent sur un principe « gagnant-gagnant » : une baisse de la population de grand gibier par une augmentation des prélèvements contre une baisse des prix de loyers de chasse ou le versement de bonus importants… sous certaines conditions… ».  S’ensuit le détail des mesures, et en fin de communiqué, ce tir à vue sur les chevreuils : « … l’accord prévoit de favoriser le prélèvement des chevreuils de manière adaptée notamment par le tir d’été, en raison de son impact en cas de surpopulation qui s’avère préjudiciable au renouvellement forestier. D’une manière plus générale, la FNC et l’ONF sont favorables à la diversification des modes de chasse, et s’engagent à promouvoir la valorisation des produits de la chasse par l’accompagnement à la création de filières venaison sur le territoire… ». Histoire de tailler une bavette ?

 

Pour lire le communiqué de la FNC, c’est ICI

Moustiques vecteurs : comment répondre aux enjeux actuels ?

Avec des épidémies de dengue, de chikungunya, ou de Zika dans les territoires ultramarins, et un nombre croissant de cas dans l’Hexagone, les moustiques vecteurs d’agents pathogènes s’imposent comme un enjeu majeur de santé publique pour l’ensemble des territoires français. La distribution et la densité des différentes espèces de moustiques vecteurs (notamment Aedes aegypti et Aedes albopictus, le moustique tigre) et leur résistance aux insecticides évoluent. Sous l’effet du dérèglement climatique et de la mondialisation des échanges, d’autres espèces sont également susceptibles de s’implanter. Une augmentation des cas de maladies vectorielles est donc prévisible sur le territoire national dans les prochaines années. Pour anticiper ces risques et améliorer les stratégies de lutte anti-vectorielle, il est indispensable de faire évoluer les méthodes de surveillance, de prévention et de contrôle des moustiques vecteurs. Dans cette perspective, l’Anses organisera, en collaboration scientifique avec le Muséum national d’Histoire naturelle, un séminaire à destination de la communauté scientifique et technique travaillant sur les moustiques vecteurs, le jeudi 25 avril 2024. Cet événement permettra de présenter des travaux de recherche innovants en entomologie, virologie, biologie, sciences humaines et sociales, et d’évoquer des actions concrètes mises en œuvre par des acteurs de la lutte anti-vectorielle pour répondre aux enjeux actuels et améliorer les stratégies de lutte.

 

Pour voir le programme complet de la journée, c’est ICI

Société Centrale Canine : passage au numérique pour les démarches

La dématérialisation des formulaires et des documents officiels se poursuit à la Centrale Canine, dans l’objectif de faciliter et accélérer les démarches. C’est ainsi au tour des demandes de carnets de travail de passer au format digital. La Centrale Canine est depuis plusieurs années impliquée dans un vaste processus de dématérialisation de ses démarches (Licences, demandes d’affixes…). Grâce à leur espace LOF Connect, les éleveurs et particuliers ont la possibilité d’effectuer de nombreuses demandes en ligne, en quelques clics. Nouvelle addition à la liste des documents passant au digital, le formulaire de demande de carnet de travail passant lui aussi au tout numérique ! Désormais libéré des contraintes du papier, en particulier des délais postaux, le traitement des demandes de carnet de travail sera considérablement plus rapide et efficace. Le paiement, réalisé directement en ligne de manière complètement sécurisée, sera lui aussi simplifié. Pour le reste, aucune autre modification : le carnet de travail reste inchangé, aussi bien dans son fonctionnement que dans son utilité. Il reste un document obligatoire pour la pratique et le suivi des disciplines dites « d’utilité ». Cette mesure sera mise en place progressivement pour atteindre une dématérialisation totale au 1er juillet 2024. Pour toute question à ce sujet, la centrale Canine invite à contacter le service des carnets de travail, dont les coordonnées sont disponibles sur sa page contact : https://www.centrale-canine.fr/articles/nous-contacter