Couteaux Jacques Mongin

 

A la coutellerie Henry, à Nogent, on œuvre depuis cinq générations à la fabrication des plus belles pièces. Aujourd’hui, la petite entreprise est l’une des dernières a réaliser ses productions de manière artisanale dans le bassin nogentais. Sous l’impulsion de Sophie, fille de Gérard Henry, la coutellerie vient d’ajouter un nouveau volet à ses activités : la diffusion des couteaux qui sont parmi les plus beaux du monde, signés « Jacques Mongin »…

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À quelle fréquence faut-il nourrir les chiens

Tout le monde semblait en être persuadé, du sevrage à l’âge de six mois : 3 fois par jour, de six mois à un an : 2 fois par jour, et à partir d’un an, mais seulement si l’état du chien encore subadulte le permet : 1 fois par jour. Quasiment tous les propriétaires de chiens de chasse pratiquent ainsi, et les vétérinaires le conseillent également. Mais une nouvelle étude de grande ampleur, dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue « GeroScience », apporte une réponse qui a surpris les auteurs. « Nous n’étions pas du tout convaincus que nous verrions des différences dans la santé ou la cognition des chiens, en fonction de la fréquence d’alimentation », a déclaré Kathleen Kerr, auteure principale de l’étude. Les chercheurs ont constaté que la fréquence optimale, pour nourrir correctement un chien, est bien une seule fois par jour. De cette façon, ils ont moins de problèmes de santé physique et de meilleurs scores cognitifs par rapport aux chiens nourris plus fréquemment. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont utilisé les données de l’étude « Dog Aging Project » qui fournit diverses informations sur plus de 10 000 chiens (race, taille, âge, habitudes alimentaires). Voilà, c’est confirmé, un bon et vrai repas équilibré par jour maintiendra votre chien en pleine forme.

Une race : le griffon nivernais

Ce spécialiste de la chasse aux sangliers s’est forgé une belle réputation, dans tous les milieux où il exerce ses talents… De taille moyenne, le mâle toise de 55 à 62 cm et la femelle, légèrement plus petite, de 53 à 60. Si son aspect hirsute nuit un peu à son élégance, son courage et sa ténacité sont à toutes épreuves. On le trouve partout où il y a du sanglier, et même au Canada, où quelques sujets font merveille à la chasse à l’ours.  Excellent rapprocheur, le griffon nivernais est méthodique et appliqué dans la menée, bien collé à la voie, de bon train, ni trop rapide, ni trop lent et de bonne gorge. Renommé pour son courage et sa ténacité, il a bien mérité sa réputation de chasseur de sangliers…

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Les chiens à sanglier de taille moyenne

Représentants des usages régionaux, toutes les races de chiens sont présentes chez les chasseurs de sangliers. Paradoxalement, ce sont les tailles moyennes qui sont les plus utilisées, et ce n’est pas sans raison. Un chien courant, quelle que soit sa taille, doit, pour mériter cette appellation de « courant », répondre à ces critères : poursuivre à voix, sur la voie, un gibier qu’il ne voit pas. Pour chasser le sanglier, toutes les races de courants, absolument toutes, sont employées, sans compter la multitude de chiens de pays, corniauds et bâtards. Il est vrai que les chiens de races sont, pour la plupart, originaires d’une région spécifique, et c’est incontestablement un patrimoine à préserver. L’appellation « races moyennes » est conditionnée par la taille. Ainsi, on y trouve les Harrier et Beagle-Harrier, Bleu de Gascogne, Gascon Saintongeois, Ariégeois, chiens courants suisses (Bruno, Bernois, Lucernois, Schwytzois), les fauves de Bretagne, griffons nivernais, briquets vendéens, Porcelaines, chiens de Saint Hubert, chiens d’Artois. Pour chacune, on peut noter la faculté de polyvalence, avec pour certains des spécialités reconnues. C’est le cas du griffon nivernais, promu « chien à sanglier » que l’on retrouve partout. La région sur laquelle les chasseurs évoluent joue également un rôle important dans le choix. Personne ne conteste le légendaire nez des chiens de Gascogne, qui ont, depuis longtemps, franchi les limites de leur région d’origine, recherchés pour leur qualité de rapprocheurs sur des terrains arides et caillouteux. Et ce n’est pas par hasard que des Gascons Saintongeois, Saint Hubert, grands bleus ou Porcelaines soient utilisés comme chiens de pied ou encore employés comme retrempe sur d’autres races locales pour en améliorer le nez…

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Pourquoi les petits chiens vivent plus longtemps que les grands…

Dans l’étude publiée par la revue « The American Naturalist », des chercheurs australiens sont arrivés à la conclusion que l’espérance de vie d’un chien n’a rien à voir avec son vieillissement naturel. Les écarts de longévité résideraient dans le fait que les grands chiens développent, plus tôt que les petits chiens, certaines formes de cancers, selon le docteur Jack da Silva, directeur de recherches. Pour étayer leur hypothèse, les biologistes ont étudié les causes les plus courantes des décès chez 164 chiens de races différentes, et ils expliquent que les grands chiens sont des races créées dans des élevages sélectifs, et que la plupart des 400 races que nous connaissons aujourd’hui n’ont été établies qu’au cours des 200 dernières années. Et ces chiens n’ont pas été « génétiquement conçus » pour résister à certaines maladies. En d’autres termes, leur taille a été créée artificiellement, mais l’évolution naturelle de la génétique, elle, n’a pas suivi, ce qui implique que leurs défenses naturelles contre les maladies n’auraient pas évolué de manière proportionnelle à leurs tailles. Les scientifiques australiens se sont appuyés sur la théorie de Thomas Kirkwood, publiée en 1977, dans laquelle le vieillissement, appelé « plafond de longévité », stipule que chaque espèce animale dispose d’une limite maximale de longévité, au-delà de laquelle il est impossible de vivre. Cette limite serait déterminée par la capacité de l’organisme à maintenir l’intégrité de son ADN et de ses protéines, ainsi que par la résistance de ses cellules aux dommages oxydatifs. Pour que les grands chiens vivent plus vieux, il faudrait, d’après les chercheurs, que les portées soient moins importantes. Cela permettrait aux chiennes de conserver plus d’énergie, et ainsi de donner naissance à des chiots plus résistants. Un travail de sélection qui revient aux éleveurs...

FACCC : finale nationale « Chien de pied » à Montillot (Yonne) le week-end prochain

C’est une des grandes classiques organisées par la FACCC : la finale nationale « Chien de pied ». Elle réunit les vainqueurs des épreuves régionales, qui vont se mesurer, en salle et sur le terrain, avec leurs chiens, sur les pistes artificielles dans la voie du sanglier, tracées spécialement pour l’épreuve. Organisée par le GIC du Vézelien, à Montillot (Yonne), la finale « Dame » et la finale « Junior » se dérouleront le samedi 29 avril à partir de 9 heures. Quant à la finale « Homme », elle sera disputée le lendemain, dimanche 30 avril, à la même heure. L’AFACCC 89 accueillera donc les cinquante meilleurs équipages (chien et chasseur) pour concourir pour le titre de « Champion de France » dans chaque catégorie. La remise des trophées est prévue le dimanche à 16 h 30. Rappelons que le but de l’épreuve « Chien de pied » est de mettre en valeur le travail du chien courant qui consiste à identifier et connaitre les animaux qui seront chassés. Elle permet d’évaluer les aptitudes à suivre et maintenir une piste ou voie « froide » jusqu’au leurre déposé à l’endroit sensé être la remise du sanglier. Les bons chiens de pied, très recherchés, permettent, avant une chasse en battue, de localiser les animaux, gain de temps précieux pour une attaque rapide et efficace. Lors de ces deux journées, à Montillot, des animations, notamment par les sonneurs de trompes du Rallye au Cerf Roy seront proposées, ainsi que des stands d’exposition. Une grande soirée de gala, ouverte à tous, est prévue le samedi 29 avril à 20 heures avec un menu typiquement régional. Inscription au 06 30 62 49 50 ou au 06 74 65 00 38.

Education : le chien de pied

Les bons chiens de pied, si recherchés, sont la fierté des chasseurs de sangliers. Il est donc aisé de choisir, mais je conseillerais cependant de prendre un sujet issu d’une bonne lignée dans cette spécialité. Quant à la taille du chien, il sera indispensable qu’elle soit adaptée aux territoires sur lesquels il évoluera. Si les chiots sont quasiment tous dotés des facultés indispensables pour faire ce métier, il ne faut jamais perdre de vue que c’est le maitre, au cours des nombreuses séances d’entrainement, qui l’aidera à les développer. Ensuite, l’expérience finira l’éducation…

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Les qualités indispensables aux chiens courants

Un chien courant n’est pas qu’un chien « qui courre ». ça va bien au-delà… Les chiens courants ont une définition qui pourrait être : « poursuivre, en donnant de la voix, un gibier qu’il ne voit pas ». Donner de la voix n’est donc pas une bonne ou mauvaise chose, mais la façon, pour le chien, de s’exprimer. Cependant, certains chiens crient plus que d’autres, selon les races et selon le gibier chassé. Quelle que soit sa race, un chien courant doit avoir du nez, et comme pour la voix, tous ne sont pas égaux. Mais, quel que soit le gibier chassé, c’est un critère obligatoire pour que le chien puisse rechercher, trouver et poursuivre. Selon les régions et l’animal chassé, les besoins ne sont pas les mêmes. Il faudra donc adapter, d’une part la race employée, et d’autre part l’éducation appropriée.

Par Cyril Jolibois

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Comment réaliser un chenil ou aménager un enclos déjà existant ?

Dans tous les cas, que ce soit pour une petite ou plus importante meute, la structure devra être conforme à la réglementation, adaptée pour ses pensionnaires et pratique pour ceux qui auront à s’en occuper. Elever, soigner, éduquer des chiens de chasse est une activité passionnante, mais qui comporte des obligations. La première est d’avoir un chenil qui correspond au nombre de ses occupants. Dans un chenil bien conçu, il sera plus facile et agréable d’élever. Il ne s’agit donc pas de se contenter, comme on le voit encore, de fermer un petit bout de terrain et d’y planter une niche au milieu. Les temps anciens sont toujours riches d’enseignement et à échelle réduite, les chenils des grands équipages de vénerie peuvent servir de modèles. Une cour et au moins deux pièces qui communiquent, pas de vitres aux fenêtres mais des toiles qui permettent une bonne circulation de l’air, suppriment l’humidité et empêchent les insectes d’entrer en été...                                                                                                      

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Parvovirose canine : un nouveau test pour une meilleure immunité

Bien qu’un vaccin efficace existe, le parvovirus canin continue de se disséminer. Il existe en effet une période critique dans la vie d’un chiot, pendant laquelle il est sensible à l’infection, mais ne répond pas à la vaccination. Pour améliorer le calendrier vaccinal, des tests sérologiques sont effectués, mais ils ne sont pas parfaits. Des vétérinaires ont donc cherché à affiner le protocole du test d’inhibition de l’hémagglutination, pour éviter une mauvaise interprétation des résultats et une vaccination inefficace. Ils ont proposé un protocole dans lequel le sérum canin est pré-incubé, avec des globules rouges porcins, pendant 12 heures, pour éliminer les agglutinines non spécifiques. Le panel de sérums canins, prélevés sur 80 chiens de tous les âges et avec différents titres d’anticorps neutralisants, a été analysé avec ce nouveau protocole pour le tester. Les chercheurs montrent ainsi que le prétraitement des sérums avec des globules rouges empêche l’hémagglutination non spécifique, et que l’abaissement de la concentration de globules rouges évite la précipitation artéfactuelle. Ce nouveau protocole augmente donc la précision de l’interprétation du test, et réduit l’interférence des agglutinines non spécifiques, principalement observées chez les chiots. Cela réduit la probabilité d’une évaluation incorrecte de l’immunité passive ou active chez le chiot, au moment de décider d’administrer, ou de différer, la vaccination.

Les mécanismes de l'olfaction chez le chien

Pour les animaux, l’odorat est le sens indispensable à la quête de nourriture et à la communication. Chez le chien, ce formidable système d’analyse en fait un auxiliaire indispensable pour la chasse. D’un point de vue évolutif, l’odorat est certainement le plus ancien système sensoriel développé par les organismes vivants. Il permet, à un grand nombre d’animaux, de pouvoir identifier leurs congénères, de trouver leur nourriture ou encore, de détecter la présence d’un danger potentiel. Néanmoins, à l’instar des quatre autres sens (vue, ouïe, toucher et goût), la finesse de l’odorat peut être extrêmement variable d’une espèce à l’autre. Si l’Homme, par exemple, parvient à identifier les seules odeurs nauséabondes d’un excrément canin logé sous ses bottes, son chien de chasse y puisera, lui, une source incomparable de renseignements sur l’auteur de la chose : sexe, âge, état de santé, statut social, nourriture récemment ingérée, etc...

 

Par Hubert Buiron

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Epreuve de travail des chiens d’oysel

Ces chiens, venus d’Asie, seraient arrivés en France vers le 8e siècle, lors des grandes invasions barbares qui ont également apporté la chasse au vol. La loi des frisons, édictée par Charlemagne en 802, précisait déjà : « que celui qui a tué un chien d'oysel (canem acceptorium) ou un petit braque (braconeur parvum) compose avec 4 sous ». Sa grande valeur reconnue, les compétences du chien d’oysel furent ensuite abondamment citées dans le livre de la chasse de Gaston Phébus : « Il y a des chiens qu'on appelle chien d'oysel et espaignols, pour ce que cette nature vient d'Espagne. Combien il y en ait en d'autres pays… ». Puis, bien plus tard, dans les années 1900, c’est le forestier allemand Rudolf Friess qui contribua à lui faire acquérir ses qualités actuelles, qui font de ce chien un auxiliaire polyvalent à la chasse. Devenu chien d’Oysel allemand, nommé Wachtelhund (qui signifie chien de caille), il est aujourd’hui utilisé aussi bien pour le petit et le grand gibier, puisque quêteur, broussailleur, meneur à voix, il sait tout faire. Aussi pour confirmer ses qualités, des épreuves de travail sont organisées tous les ans, et la dernière a eu lieu la semaine dernière en Meuse, où durant trois jours, les chiens qui ont été jugés avaient déjà réussis préalablement le TAN, dont le résultat était pris en compte dans la grille de cotation des géniteurs…

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Vers un statut juridique des conducteurs de chiens de sang ?

Toujours très actif dans tout ce qui concerne la chasse, le sénateur Jean-Noël Cardoux a adressé une question écrite (JO Sénat du 19 janvier) à l'attention de la Secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires. En voici la teneur : « Chaque année, plus de 30 000 recherches d'animaux sont effectuées par des conducteurs de chiens de sang. Elles permettent de récupérer près de 500 tonnes de venaison, de limiter les souffrances inutiles des animaux blessés et de prévenir les risques sanitaires véhiculés par les carcasses. La loi 2000-698 du 26 juillet 2000 relative à la chasse, codifiée à l'article L.420-3 du code de l'environnement, définit l'intervention de chiens de sang comme « la recherche d'un animal blessé ou de contrôler le résultat d'un tir sur un animal », excluant cette activité de l'acte de chasse…

Cependant, en 2023, aucun texte ne définit clairement ce qu'est un « conducteur de chiens de sang ». La loi renvoie simplement aux schémas départementaux de gestion cynégétiques (SDGC) la responsabilité d'inclure la recherche au sang du grand gibier dans ses actions, en vue d'améliorer la pratique de la chasse. Dans les faits, un agrément associatif est nécessaire pour intervenir dans ce domaine. Bien que l'Union nationale pour l'utilisation de chiens de rouge (UNUCR) délivre un agrément reconnu pleinement par l'OFB et l'ONF, des associations, moins scrupuleuses et moins exigeantes sur les conditions d'obtention de l'agrément, se sont créées dans certains départements. Pour développer cette activité, primordiale pour la bonne gestion cynégétique, favoriser le recrutement de nouveaux conducteurs et éviter les abus, une harmonisation et une définition réglementaire semblent nécessaires. Les exigences déjà formulées par l'UNUCR, comme l'absence de condamnation préalable en matière de chasse, la validation du permis de chasser, l'engagement éthique, l'assurance spécifique ou encore l'éducation des chiens soumise à une épreuve, pourraient être reprises. Ainsi, il aimerait savoir (le sénateur Cardoux) ce que le Gouvernement compte mettre en œuvre afin de définir un réel statut des conducteurs de chiens de sang ». 

​​​​​​​Pour les chiens, 2023 est l’année des « U »

En France, l’identification d’un animal est obligatoire. Elle lui permet d’avoir sa propre identité et de prouver son lien avec son propriétaire. Tous les chiens doivent être identifiés, et c’est l’I-CAD, sous délégation du ministère de l’Agriculture et de l'Alimentation, qui administre le fichier national d'Identification des Carnivores Domestiques. Cette identification est réalisée par un vétérinaire, par insertion d’une puce électronique (transpondeur) et le numéro correspondant est inscrit dans le carnet de santé ou le passeport européen de l'animal. Le vétérinaire, à chaque consultation, lit la puce grâce à un lecteur et vérifie la conformité des documents du chien. Cet appareil est également utilisé pour reconnaître un animal perdu. Cependant, en plus du numéro de la puce, il vous faudra baptiser votre chien en vue de son inscription au LOF, s’il est de race, et cette année 2023, les noms devront commencer par la lettre « U ». C’est une tradition qui date de 1926 et qui a été décidée par la Société Centrale Canine (SCC). Elle a mis en place cette règle du lettrage par année pour les chiens, afin de mettre de l’ordre dans le registre des naissances. Cependant, certaines lettres trop compliquées ou ne permettant pas une diversification assez large des noms, ont été retirées de la liste. Ce système permet de retrouver l’année de naissance d’un animal à partir de son nom, quelle que soit sa race. Bien entendu, il n’y a aucune obligation à se soumettre à cette règle si votre chien n’est pas destiné à être inscrit au LOF, mais rien ne vous empêche de lui donner un nom qui commence par la lettre de l’année. Voici quelques suggestions de nom pour cette année 2023 : Uzes, Uta, Uschaïa, Ursane, Urkyn, Utah, Uschi, Urscha, Urlane, Uzi, Utaja, Uschie, Urschel, Urle, Uziel, Utak, Urley, Uzik, Utan, Uscott, Ursel, Urly, Uzo, Utawa, User, Ursela, Urma, Uzola, Ursella, Urman U'Zoom, Utcha, Ursetta, Urmann, Uzou, Ute, Ushana, Ursia, Urmeli, Uzy, Uter, Usher, Ursie, Urmelle, Utzo, Ubane, Ubix, Umana, Umi, Unal, Umanie, Unate, Unik, Ulyne, Umar, Urgo, Upson…

« Guide pratique des premiers secours canins » de la FACCC

Quelle bonne idée a eu la FACCC de préparer ce petit fascicule riche d’enseignement et de renseignements. Sans prétention technique, il est la base des premiers gestes à faire en cas de problème avec un chien, dans les troubles les plus courants qu’il est susceptible de rencontrer en, et hors action de chasse. De la trousse de secours au transport et déplacement d’un chien blessé, les atteintes les plus courantes sont traités en trois phases : symptômes et description, les bons gestes à faire, les gestes à éviter ou le matériel nécessaire pour prodiguer les premiers secours d’urgence, avant l’arrivée du chien malade ou blessé chez le vétérinaire. Les pathologies traitées sont : arrêt cardiaque, chenilles processionnaires, coup de chaud, dilatation et torsion d’estomac, état de choc, éventration, hémorragie interne, hypoglycémie, fracture de membre, morsure de serpent, plaie, plaie hémorragique, pneumothorax, problème oculaire. Les conseils pratiques : transporter un chien blessé, improviser un brancard, improviser une muselière, bon à savoir et à faire. Pour se le procurer, s’adresser à son AFACCC départementale.