Les caisses à chiens du châtillonnais

Les Caisses à Chiens du Châtillonnais

 

 

 

 

 

21450 Saint Marc-sur-Seine

Tél. : 07 89 82 92 26   -   Courriel : remi.liady@hotmail.fr

Les chiens à sanglier de taille moyenne

Représentants des usages régionaux, toutes les races de chiens sont présentes chez les chasseurs de sangliers. Paradoxalement, ce sont les tailles moyennes qui sont les plus utilisées, et ce n’est pas sans raison. Un chien courant, quelle que soit sa taille, doit, pour mériter cette appellation de « courant », répondre à ces critères : poursuivre à voix, sur la voie, un gibier qu’il ne voit pas. Pour chasser le sanglier, toutes les races de courants, absolument toutes, sont employées, sans compter la multitude de chiens de pays, corniauds et bâtards. Il est vrai que les chiens de races sont, pour la plupart, originaires d’une région spécifique, et c’est incontestablement un patrimoine à préserver. L’appellation « races moyennes » est conditionnée par la taille. Ainsi, on y trouve les Harrier et Beagle-Harrier, Bleu de Gascogne, Gascon Saintongeois, Ariégeois, chiens courants suisses (Bruno, Bernois, Lucernois, Schwytzois), les fauves de Bretagne, griffons nivernais, briquets vendéens, Porcelaines, chiens de Saint Hubert, chiens d’Artois. Pour chacune, on peut noter la faculté de polyvalence, avec pour certains des spécialités reconnues. C’est le cas du griffon nivernais, promu « chien à sanglier » que l’on retrouve partout. La région sur laquelle les chasseurs évoluent joue également un rôle important dans le choix. Personne ne conteste le légendaire nez des chiens de Gascogne, qui ont, depuis longtemps, franchi les limites de leur région d’origine, recherchés pour leur qualité de rapprocheurs sur des terrains arides et caillouteux. Et ce n’est pas par hasard que des Gascons Saintongeois, Saint Hubert, grands bleus ou Porcelaines soient utilisés comme chiens de pied ou encore employés comme retrempe sur d’autres races locales pour en améliorer le nez…

[ LIRE LA SUITE... ]

Pourquoi les petits chiens vivent plus longtemps que les grands…

Dans l’étude publiée par la revue « The American Naturalist », des chercheurs australiens sont arrivés à la conclusion que l’espérance de vie d’un chien n’a rien à voir avec son vieillissement naturel. Les écarts de longévité résideraient dans le fait que les grands chiens développent, plus tôt que les petits chiens, certaines formes de cancers, selon le docteur Jack da Silva, directeur de recherches. Pour étayer leur hypothèse, les biologistes ont étudié les causes les plus courantes des décès chez 164 chiens de races différentes, et ils expliquent que les grands chiens sont des races créées dans des élevages sélectifs, et que la plupart des 400 races que nous connaissons aujourd’hui n’ont été établies qu’au cours des 200 dernières années. Et ces chiens n’ont pas été « génétiquement conçus » pour résister à certaines maladies. En d’autres termes, leur taille a été créée artificiellement, mais l’évolution naturelle de la génétique, elle, n’a pas suivi, ce qui implique que leurs défenses naturelles contre les maladies n’auraient pas évolué de manière proportionnelle à leurs tailles. Les scientifiques australiens se sont appuyés sur la théorie de Thomas Kirkwood, publiée en 1977, dans laquelle le vieillissement, appelé « plafond de longévité », stipule que chaque espèce animale dispose d’une limite maximale de longévité, au-delà de laquelle il est impossible de vivre. Cette limite serait déterminée par la capacité de l’organisme à maintenir l’intégrité de son ADN et de ses protéines, ainsi que par la résistance de ses cellules aux dommages oxydatifs. Pour que les grands chiens vivent plus vieux, il faudrait, d’après les chercheurs, que les portées soient moins importantes. Cela permettrait aux chiennes de conserver plus d’énergie, et ainsi de donner naissance à des chiots plus résistants. Un travail de sélection qui revient aux éleveurs...

Comment réaliser un chenil ou aménager un enclos déjà existant ?

Dans tous les cas, que ce soit pour une petite ou plus importante meute, la structure devra être conforme à la réglementation, adaptée pour ses pensionnaires et pratique pour ceux qui auront à s’en occuper. Elever, soigner, éduquer des chiens de chasse est une activité passionnante, mais qui comporte des obligations. La première est d’avoir un chenil qui correspond au nombre de ses occupants. Dans un chenil bien conçu, il sera plus facile et agréable d’élever. Il ne s’agit donc pas de se contenter, comme on le voit encore, de fermer un petit bout de terrain et d’y planter une niche au milieu. Les temps anciens sont toujours riches d’enseignement et à échelle réduite, les chenils des grands équipages de vénerie peuvent servir de modèles. Une cour et au moins deux pièces qui communiquent, pas de vitres aux fenêtres mais des toiles qui permettent une bonne circulation de l’air, suppriment l’humidité et empêchent les insectes d’entrer en été...                                                                                                      

[ LIRE LA SUITE... ]

Vers un statut juridique des conducteurs de chiens de sang ?

Toujours très actif dans tout ce qui concerne la chasse, le sénateur Jean-Noël Cardoux a adressé une question écrite (JO Sénat du 19 janvier) à l'attention de la Secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires. En voici la teneur : « Chaque année, plus de 30 000 recherches d'animaux sont effectuées par des conducteurs de chiens de sang. Elles permettent de récupérer près de 500 tonnes de venaison, de limiter les souffrances inutiles des animaux blessés et de prévenir les risques sanitaires véhiculés par les carcasses. La loi 2000-698 du 26 juillet 2000 relative à la chasse, codifiée à l'article L.420-3 du code de l'environnement, définit l'intervention de chiens de sang comme « la recherche d'un animal blessé ou de contrôler le résultat d'un tir sur un animal », excluant cette activité de l'acte de chasse…

Cependant, en 2023, aucun texte ne définit clairement ce qu'est un « conducteur de chiens de sang ». La loi renvoie simplement aux schémas départementaux de gestion cynégétiques (SDGC) la responsabilité d'inclure la recherche au sang du grand gibier dans ses actions, en vue d'améliorer la pratique de la chasse. Dans les faits, un agrément associatif est nécessaire pour intervenir dans ce domaine. Bien que l'Union nationale pour l'utilisation de chiens de rouge (UNUCR) délivre un agrément reconnu pleinement par l'OFB et l'ONF, des associations, moins scrupuleuses et moins exigeantes sur les conditions d'obtention de l'agrément, se sont créées dans certains départements. Pour développer cette activité, primordiale pour la bonne gestion cynégétique, favoriser le recrutement de nouveaux conducteurs et éviter les abus, une harmonisation et une définition réglementaire semblent nécessaires. Les exigences déjà formulées par l'UNUCR, comme l'absence de condamnation préalable en matière de chasse, la validation du permis de chasser, l'engagement éthique, l'assurance spécifique ou encore l'éducation des chiens soumise à une épreuve, pourraient être reprises. Ainsi, il aimerait savoir (le sénateur Cardoux) ce que le Gouvernement compte mettre en œuvre afin de définir un réel statut des conducteurs de chiens de sang ». 

​​​​​​​Pour les chiens, 2023 est l’année des « U »

En France, l’identification d’un animal est obligatoire. Elle lui permet d’avoir sa propre identité et de prouver son lien avec son propriétaire. Tous les chiens doivent être identifiés, et c’est l’I-CAD, sous délégation du ministère de l’Agriculture et de l'Alimentation, qui administre le fichier national d'Identification des Carnivores Domestiques. Cette identification est réalisée par un vétérinaire, par insertion d’une puce électronique (transpondeur) et le numéro correspondant est inscrit dans le carnet de santé ou le passeport européen de l'animal. Le vétérinaire, à chaque consultation, lit la puce grâce à un lecteur et vérifie la conformité des documents du chien. Cet appareil est également utilisé pour reconnaître un animal perdu. Cependant, en plus du numéro de la puce, il vous faudra baptiser votre chien en vue de son inscription au LOF, s’il est de race, et cette année 2023, les noms devront commencer par la lettre « U ». C’est une tradition qui date de 1926 et qui a été décidée par la Société Centrale Canine (SCC). Elle a mis en place cette règle du lettrage par année pour les chiens, afin de mettre de l’ordre dans le registre des naissances. Cependant, certaines lettres trop compliquées ou ne permettant pas une diversification assez large des noms, ont été retirées de la liste. Ce système permet de retrouver l’année de naissance d’un animal à partir de son nom, quelle que soit sa race. Bien entendu, il n’y a aucune obligation à se soumettre à cette règle si votre chien n’est pas destiné à être inscrit au LOF, mais rien ne vous empêche de lui donner un nom qui commence par la lettre de l’année. Voici quelques suggestions de nom pour cette année 2023 : Uzes, Uta, Uschaïa, Ursane, Urkyn, Utah, Uschi, Urscha, Urlane, Uzi, Utaja, Uschie, Urschel, Urle, Uziel, Utak, Urley, Uzik, Utan, Uscott, Ursel, Urly, Uzo, Utawa, User, Ursela, Urma, Uzola, Ursella, Urman U'Zoom, Utcha, Ursetta, Urmann, Uzou, Ute, Ushana, Ursia, Urmeli, Uzy, Uter, Usher, Ursie, Urmelle, Utzo, Ubane, Ubix, Umana, Umi, Unal, Umanie, Unate, Unik, Ulyne, Umar, Urgo, Upson…

Le premier mémorial dédié aux « Chiens héros civils et militaires » a été inauguré à Suippes (Marne)

Le 20 octobre dernier, une cérémonie dans la grande tradition militaire, a été organisée à Suippes (Marne) : l’inauguration d’un mémorial dédié aux chiens héros, civils et militaires. La ville n’a pas été choisie au hasard, car Suippes est la base du 132e Régiment d'infanterie cynotechnique (RIC), premier chenil militaire d'Europe, fort de 550 chiens. La réalisation du monument intitulé « Frères d'arme », une sculpture en bronze, est due au sculpteur franco-colombien Milthon. Elle a été financée à hauteur de 150 000 euros par la Société centrale canine (SCC), à l'origine du projet, qui a bénéficié de l'appui de l'Armée de terre et de la commune de Suippes. « Au-delà de ce devoir de mémoire, ce mémorial est l'emblème du travail admirable de nos chiens au service de l'homme, du chien visiteur dans nos hôpitaux au chien de patrouille dans les montagnes d'Afghanistan… » déclarait le président de la SCC, Alexandre Balzer, en présence de nombreux représentants des forces armées, de personnalités cynophiles et de militaires du 132e RIC...

[ LIRE LA SUITE... ]

Chiens : clubs de races, éleveurs, attention une menace plane !

L’affaire est encore purement norvégienne, mais pourrait bien, et c’est la crainte de la FCI, déborder et toucher l’ensemble de la réglementation européenne, jurisprudence oblige. En janvier 2022, le Norwegian Kennel Club, le Norwegian Bulldog Club, le Norwegian Cavalier Club et six éleveurs ont été poursuivis en justice par la Norwegian Society for Protection of Animals (NSPA) pour « violation de la Section 25 du Animal Welfare Act ». Cet article stipule que « … Lors d’un contrôle : 1) Un inspecteur peut exiger du titulaire d'une licence qu'il produise pour inspection tout dossier qu'il est tenu de conserver en vertu d'une condition de la licence. 2) Lorsque les dossiers qu'une personne est tenue de conserver sont stockés sous forme électronique, l’inspecteur peut exiger que les dossiers soient mis à disposition : sous une forme visible et lisible, ou sous une forme à partir de laquelle ils peuvent être facilement produits sous une forme visible et lisible. 3) Un inspecteur peut inspecter et prendre des copies de tout dossier produit pour inspection conformément à une exigence prévue au présent article ». Sur ce litige administratif, le 31 janvier 2022, le tribunal de district d'Oslo a constaté que les trois clubs et les six éleveurs avaient tous enfreint la loi, et donnait raison à la NSPA. L’ampleur des conséquences possibles a déclenché un pourvoi en appel de ce jugement qui a commencé le lundi 19 septembre 2022, devant le Tribunal d’Oslo. Pour Tom Martinsen, président du Conseil d'administration du NKK : « Cette affaire est capitale et, quelle que soit son issue, il est certain qu’elle conduira à des changements majeurs ». Quant à Yves de Clercq, directeur exécutif de la FCI, il a écrit aux membres et partenaires : « Comme nous vous en avions informé précédemment, ce procès pourrait affecter la cynologie européenne/internationale. Croisons les doigts pour nos amis norvégiens… ».

Peut-on soigner l’arthrose chez le chien ?

Maladie dégénérative des articulations, elle touche aussi une proportion non négligeable de nos chiens de chasse. Les laboratoires Vetoquinol, spécialistes français de la recherche et du développement de produits vétérinaires, distribuent sur le marché un complément alimentaire destiné à soulager l’arthrose chez nos compagnons à 4 pattes, lorsqu’ils commencent à vieillir ou qu’ils ont fait l’objet d’un traumatisme articulaire : le « Flexadin Advanced ». L’efficacité du traitement médicamenteux de l’arthrose suscite malgré tout cette interrogation : pourquoi pose-t-on autant de prothèses chez les humains si d’autres solutions existent ? Et si ça ne fonctionne pas pour l’homme, quid du domaine vétérinaire ?

[ LIRE LA SUITE... ]

Naissance des premiers chiots génétiquement modifiés et clonés

En combinant l’édition génétique au clonage somatique par transfert nucléaire, des chercheurs coréens de la société Toolgen, ont fait naitre des beagles dont les gènes modifiés sont plus stables et se répartissent plus uniformément, dès la première génération. L’avantage de cette technologie serait l’élimination de gènes responsables de maladies, ou encore l’amélioration de facultés cognitives et physiques. Les deux chiots sont apparemment en bonne santé. Le manque de diversité génétique conduit souvent à l’apparition plus fréquente de mutations phénotypiquement récessives. La technique de ToolGen pourrait ainsi modifier ces gènes sans risquer d’altérer d’autres traits, et conserver la pureté de la race canine. La technologie pourrait aussi contribuer à la sauvegarde et la conservation de la biodiversité, en l’appliquant à des espèces menacées d’extinction. Pour leur survie, certaines espèces, peu nombreuses en individus, se reproduisent entre parents proches. La consanguinité engendre alors une apparition plus fréquente de pathologies génétiques, et constitue de ce fait une menace de plus pour la survie de ces espèces. La technologie coréenne pourrait potentiellement pallier ce problème, en éliminant les mutations pathogènes.

​​​​​​​Nos chiens, sensibilisés aux odeurs des croquettes (suite...)

Que ne feraient pas les fabricants pour rendre les chiens « accros » à leurs croquettes. Le marché est florissant, la concurrence rude et dans ce milieu aussi, il faut innover. La difficulté majeure à surmonter dans ce domaine, c’est qu’il faut penser chien, raisonner chien et oublier ce qui titille nos palais humains. Ce qui nous semble appétissant ne l’est pas pour eux, et ce qui pue les attire. Les odeurs de chair en putréfaction, de culottes pas lavées depuis des lustres, de vieilles chaussettes, ils adorent, à un point tel que les industriels dépensent des fortunes en recherche pour les reproduire, tout en faisant en sorte de ne pas dégoûter ceux qui leur distribuent cette nourriture qui reproduit les parfums de putrescine et de cadavérine. Une récente étude a identifié neuf autres composés volatils, utilisés dans la fabrication de ces produits, dont l’heptanal, le nonanal et l’octanal, particulièrement odorants et appréciés des chiens.

[ LIRE LA SUITE... ]

L’oncologie animale

Avec des animaux qui vivent plus vieux, en partie grâce à la médecine vétérinaire moderne et à une médicalisation plus importante, le cancer est devenu, chez les chiens, l’une des causes majeures de mortalité. De nombreuses études montrent des caractéristiques identiques à celles des patients humains, et qu’un chien sur deux développera un cancer après l’âge de 10 ans. Dites « spontanées », ces pathologies se développent sous plusieurs formes de tumeurs, ayant souvent échappées à la surveillance immunitaire. Les chercheurs ont, à ce jour, identifié au moins sept types tumoraux touchant le chien qui partagent des caractéristiques moléculaires avec les cancers humains. Les vétérinaires apprennent donc de leurs homologues médecins, et ont commencé à caractériser les tumeurs canines dans les années 1960, mais ce n’est pas avant les années 1990 que trois oncologues vétérinaires pionniers, Edward Gillette et Stephen Withrow de la Colorado State University, et Greg MacEwen de l’université du Wisconsin, ont réalisé que les études chez le chien pouvaient servir de passerelle entre les modèles animaux et la pratique clinique.

La domestication du chien

Au siècle dernier, les ossements de deux chiens retrouvés dans la sépulture d’un homme, à Bonn-Oberkassel, en Allemagne, datés de 14223 années, montrent la considération dont ces animaux faisaient déjà l'objet. Le plus jeune canidé était mort de la maladie de Carré, à l'âge de 27 mois. Les séquelles pathognomoniques qui ont été retrouvées sur ses dents, montrent qu’il avait subi trois atteintes de cette infection, avant de succomber. Il avait donc bénéficié de soins intensifs, sans lesquels sa survie aurait été impossible au-delà de deux ou trois semaines. Ce dévouement montre déjà une empathie bienveillante, et finalement le respect d'une dépouille enterrée comme, et avec un défunt…

Par André Giovanelli, Docteur vétérinaire

Voir le document PDF

​​​​​​​Ils veulent faire de nos chiens des végans…

Alors qu’ils n’ont rien demandé et ne se plaignent pas de leur régime alimentaire, la tendance végane arrive dans l’écuelle de nos chiens. « Ils mangent trop de viande. Il faut donc leur donner une alimentation plus écoresponsable… ». Et c’est ainsi que les « croquettes végétales » à base de riz, carottes, maïs, betteraves, blé, orge sont de plus en plus nombreuses sur le marché. Ce qu’ils occultent, ces spécialistes de l’alimentation canine, c’est que les chiens sont des carnivores et qu’ils rechignent à croquer de la carotte. Et quand les carences guettent, le chien n’est plus très en forme… Mais les fabricants persistent, et la raison en est simple : une croquette végétale coûte deux fois moins cher à produire, ce qui, en théorie, devrait laisser deux fois plus de bénéfice… Dans ce domaine, les Américains ont, une fois de plus, une longueur d’avance, puisqu’ils viennent de développer une recette de viande cellulaire pour chiens. Le but est de restituer le goût du poulet en isolant l’ADN du volatile grâce à un processus de fermentation microbienne. La pâtée est ensuite macérée dans une cuve avec des sucres, des vitamines et des minéraux, séchée puis transformée en poudre. Un peu de perlimpinpin sur les épinards du chien, c’est de l’escroquerie, et pour le porte-monnaie du maitre, aussi…