Liste des 21 projets sélectionnés en 2025
En métropole :
- le rétablissement des roselières du Hâble d’Ault (Somme) ;
- la restauration de pelouses calcicoles littorales, mont Castel et plateau d’Amfreville (Calvados) ;
- la restauration écologique des dunes de la plage du débarquement d’Omaha beach (Calvados) ;
- la restauration écologique des herbiers de zostères de l’archipel des Ébihens (Côtes-d’Armor) ;
- dunes de Saint-Brevin, les marais salants de Guérande, du Mès et de l’Ile de Noirmoutier, le camp de la Torpille, et le marais de l’île d’Yeu (Pays de la Loire) ;
- la préservation de la dernière population insulaire de lézard ocellé de l’ile d’Oléron (Charente-Maritime) ;
- le renforcement de la résilience des écosystèmes littoraux de la réserve naturelle nationale de la baie et du marais d’Yves (Charente-Maritime) ;
- la reconquête paysagère et écologique du marais littoral de la Garenne (Charente-Maritime) ;
- la restauration et préservation de l’écosystème dunaire de la Tamarissière (Hérault) ;
- la reconquête de l’écosystème littoral de la Capelude à l’Espiguette (Gard) ;
- la préservation du corail et des petits fonds marins du parc national des Calanques (Bouches-du-Rhône) ;
- la restauration du littoral en faveur de la tortue caouanne, parc de Port-Cros (Bouches-du-Rhône) ;
- l’élimination des espèces végétales exotiques envahissantes dans le delta du Fango (Haute-Corse).
Dans les territoires ultramarins :
- la restauration écologique de l’embouchure de la rivière Nogent (Guadeloupe) ;
- la restauration du site naturel protégé des salines de Montjoly (Guyane) ;
- la restauration d’habitats de savane des falaises littorales du cap La Houssaye (La Réunion) ;
- le renforcement de la résilience des arrières-mangroves de Soulou, de Dzoumogné et de la Baie de Bouéni (Mayotte) ;
- la restauration des écosystèmes littoraux de Tahiti (Polynésie française) ;
- la régénération et pérennisation des mangroves protégeant les lagons calédoniens (Nouvelle-Calédonie) ;
- la préservation des ripisylves de la Néra au bénéfice des récifs coralliens (Nouvelle-Calédonie) ;
- la restauration des habitats lagunaires et de la flore de l’île de Juan de Nova (Terres australes et antarctiques françaises).