Lorsque l’on souhaite acquérir un instrument optique (jumelles, longue-vue, lunette de visée...) la première étape, avant même de comparer les prix, consiste à définir clairement les critères de sélection.
Ils se basent à la fois sur les besoins réels (type d’usage, fréquence, conditions de lumière) et sur des indicateurs objectifs de qualité. Le budget reste bien sûr le nerf de la guerre, mais il ne doit pas occulter les aspects techniques déterminants. En magasin ou en ligne, la première démarche est d’examiner attentivement le matériel. En boutique, prenez le temps de scruter les détails en vitrine, puis en main. En ligne, zoomez sur les photos haute définition et lisez les fiches techniques. Les premiers points à vérifier sont simples mais révélateurs :
- finition des matériaux : pas de bavures, pas d’arêtes tranchantes, pas de zones mal polies ;
- uniformité de la teinte : un coloris irrégulier peut révéler un mauvais traitement de surface ;
- qualité des lentilles : les verres doivent présenter un traitement de surface visible par de légers reflets colorés (bleu, vert, violet selon le type de coating). Observez-les sous un angle d’environ 45° pour mieux percevoir ces traitements... qui sont essentiels pour limiter la perte de lumière et améliorer le contraste :
- simplement traité : une seule couche par surface optique (souvent insuffisant pour les usages exigeants ;
- multi-traité (MC) : plusieurs couches anti-reflets sur certaines surfaces, offrant un meilleur piqué ;
- entièrement multi-traité (FMC – Fully Multi-Coated) : plusieurs couches sur toutes les surfaces optiques, garantissant une transmission lumineuse supérieure à 90 %.
Un instrument haut de gamme aura presque toujours un traitement FMC. À l’inverse, des lentilles trop transparentes, sans reflets colorés, indiquent souvent l’absence de traitement ou un simple vernis...

Il agit comme une barrière efficace contre les insectes volants, essentiels en été pour protéger le gibier des infestations potentielles. Rentrer le soir avec un brocard qui est resté exposé aux éléments, et couvert de grappes d’œufs de mouches n’est jamais réjouissant. Or, sans une protection adéquate, il sera la cible de tous ces insectes en peu de temps. Le filet à venaison est généralement conçu sous forme de sac ou de housse souple, avec des dimensions généreuses pour envelopper entièrement un brocard ou un petit sanglier.
Il doit offrir assez d’espace pour contenir l’animal sans le comprimer, tout en assurant une bonne circulation de l’air, essentielle pour éviter la fermentation ou l’échauffement de la venaison lors des chaudes journées d’été. Fabriqué en maille fine, genre moustiquaire, souvent en polyester ou en nylon haute densité pour résister aux efforts de charge, ce filet allie légèreté et robustesse. Certains modèles intègrent même un traitement antimicrobien ou un enduit déperlant, prolongeant la fraîcheur du gibier en attendant la découpe. Veillez à ce que les coutures soient renforcées, les fermetures ajustables (cordons ou liens coulissants) et les poignées de transport solidement arrimées à la poche. Côté entretien, rien de plus simple : un lavage à la main ou en machine à basse température suffit et surtout à ne jamais faire sécher en plein soleil afin de préserver les propriétés du textile.
Que ce soit en magasin ou sur l’immense marché de l’internet, il faut déjà déterminer le ou les critères de sélection. Il ne faut pas oublier non plus le nerf de la guerre : le prix ! Le premier conseil, avant d’investir, est donc d’observer. Non pas de loin, mais dans la vitrine et dans le détail, pour débusquer ce qui ne colle pas avec le prix affiché. A ce stade, point n’est besoin d’être un expert en optique, le bon sens suffit. Ainsi, vous jugerez de la qualité de la finition, et vous constaterez l’absence de bavures de matière, de défauts de surface et d’irrégularité de couleur. Côté verres, vous devrez constater une belle couleur des traitements de la surface externe des lentilles, en les regardant sous un angle d’environ 45°. Cette étape franchie, la suivante sera celle de la manipulation. Rares sont les appareils qui ne nécessitent pas d’ajustements au cours de leur utilisation.
Mise au point, réglage du grossissement, et écartement des corps optiques dans le cas de jumelles. Ne laissez rien passer, car c’est là que vous appréhenderez le critère fondamental : la qualité mécanique de construction. Ensuite, il faudra tester, grandeur nature. L’essai est donc indispensable. Dans tous les cas, qu’il s’agisse de lunette de visée, de jumelles, de longue-vue, il faut adapter l’appareil à sa vue en utilisant la correction dioptrique. Dans le cas d’une lunette de visée, c’est voir le réticule très net. Dans le cas de jumelles, c’est pire, car nos deux yeux ne sont jamais parfaitement identiques. Le dernier point concerne la masse. Le verre optique est très lourd. Donc si vous avez en main un appareil trop léger, il est forcément fabriqué avec des matières de synthèse transparente, en substitut du verre… Enfin, le reste est du domaine du subjectif, car l’instrument doit être confortable durant l’observation, c’est fondamental…
Par exemple, un grossissement de 20x signifie que l'objet à 200 mètres apparaîtra comme s'il était à seulement 10 mètres. Lorsqu’un animal se trouve à une distance conséquente, les jumelles et les lunettes d'observation deviennent des outils indispensables. Contrairement à la lunette de visée montée sur la carabine, qui est conçue pour la précision de tir et non pour l'observation détaillée, les jumelles offrent une vision stéréoscopique, préservant ainsi la perception de la profondeur.
Elles sont constituées de deux corps optiques identiques, alignés pour superposer les images vues par chaque œil. À l'intérieur de chaque corps de jumelles, des lentilles et des prismes sont méticuleusement disposés pour maximiser la luminosité, et offrir le grossissement désiré. Les meilleurs modèles utilisent des verres de haute qualité comme le « BAK4 », assurant une clarté optique exceptionnelle. Les prismes, quant à eux, sont essentiels pour plier la trajectoire des rayons lumineux, réduisant ainsi la taille globale des jumelles sans compromettre la qualité de l'image. Cependant, l'utilisation de jumelles avec des grossissements considérés comme élevés (supérieurs à x10) peut devenir problématique en raison de leur poids accru, ce qui peut entraîner une fatigue rapide et des tremblements lors d'une observation prolongée...
Ces optiques doivent être suffisamment compactes pour tenir dans une poche de chemise ou de pull, ne dépassant pas dix à 15 cm de longueur et pesant entre 200 et 300 grammes, idéalement manipulables d'une seule main. Les dimensions réduites limitent souvent les choix aux modèles 8x20 ou 10x25, adaptés respectivement aux besoins de champ de vision plus large en sous-bois ou de grossissement accru en montagne.
Quel que soit le modèle choisi, la qualité reste primordiale. Les revêtements spéciaux sur les verres sont essentiels pour repousser l'eau et protéger contre les traces de doigts fréquentes sur ces jumelles compactes. Les oculaires jouent également un rôle crucial, nécessitant une conception sans lumière parasite pour une observation claire et précise. En termes de confort, une simple courroie autour du cou suffit souvent pour le port quotidien, tandis qu'une poche de poitrine permet de stabiliser les jumelles et de les saisir rapidement en cas de besoin. L'essai des jumelles dans des conditions de faible lumière est nécessaire avant un achat pour évaluer leur performance réelle, particulièrement à l'aube ou au crépuscule, moments où la qualité optique se révèle. Malgré leur petite taille, ces jumelles ne doivent pas être sous-estimées, surtout dans les activités telles que la chasse, où leur légèreté offre un avantage significatif. Cependant, le coût reste un facteur important à considérer, car la technologie nécessaire pour maintenir les performances optiques dans un format réduit implique généralement un investissement financier plus conséquent.
S’il est seul, la solution la plus simple est de l’achever d’une balle bien placée. C’est propre, rapide et sans risque. En revanche, s’il est coiffé par la meute de chiens, l’emploi d’une arme à feu devient trop hasardeux. Il n’y a donc que l’arme blanche, qui exige toutefois une bonne dose de courage et un savoir-faire certain. Avant l’apparition des fusils, les meneurs de chiens utilisaient l’épieu. Les seigneurs, eux, se réservaient la mise à mort des cervidés, petits et grands, et pour cela, utilisaient une courte épée qui, plus tard, sera à l’origine du hirschfänger allemand. Mais cette dague à double tranchant et d’environ 3 cm de large, n’est pas ce qui convient le mieux pour finir un sanglier. L’armure d’un vieux mâle est dure et épaisse, et il arrive assez souvent que la lame se brise dans le corps de l’animal ou qu’elle en soit expulsée sous l’effet du travail des muscles. Alors, quelle forme doit avoir le couteau à servir ?
Elle remonte à des siècles, lorsque les artisans forgeaient chaque lame à la main, en utilisant des matériaux locaux et des techniques transmises de génération en génération. Les manches étaient souvent ornés de bois précieux, de cornes ou même d’os gravés, tandis que les lames étaient conçues pour résister aux épreuves du terrain. Chaque pièce était donc unique, tant par sa fabrication que par l’histoire qu’elle racontait. Les forgerons collaboraient souvent avec les chasseurs pour personnaliser leurs couteaux, intégrant des symboles ou des motifs spécifiques à leurs traditions ou à leurs exploits. Un couteau de chasse n’est donc pas qu’un bel objet. Il est avant tout un outil polyvalent qui sert à tout, de la mise à mort du gibier à sa préparation en passant par la coupe de branches ou du cuir. Un bon couteau doit combiner une lame robuste, un manche ergonomique et un équilibre parfait pour être maniable dans toutes les situations. Cependant, l’industrialisation et l’arrivée des couteaux de production en série ont bouleversé le marché. Ces versions modernes, bien que fonctionnelles, manquent toutefois du caractère et de l'authenticité des pièces artisanales…
Les jumelles avec télémètre intégré Bernard Optic rentrent dans cette catégorie, disponibles en 8x42 ou 10x42. Livrées dans un étui marron rigide, moulé intérieurement pour les maintenir fermement, ces jumelles sont prééquipées d’une batterie de 3 volts permettant leur utilisation immédiate. Une notice explicative fournie renseigne les utilisateurs sur le fonctionnement de la mesure de distance et les indications affichées sur l’écran interne. Une sangle permet éventuellement de porter l’ensemble étui-jumelles, et une courroie pour le port seul des jumelles. Le télémètre intégré permet des mesures « au mètre près », jusqu’à 1500 mètres. 
- étanchéité : assurée par un remplissage à l’azote,
Que ce soit en magasin ou sur l’immense marché de l’internet, il faut déjà déterminer le ou les critères de sélection. Il ne faut pas oublier non plus le nerf de la guerre : le prix ! Le premier conseil, avant d’investir, est donc d’observer. Non pas de loin, mais dans la vitrine et dans le détail, pour débusquer ce qui ne colle pas avec le prix affiché. A ce stade, point n’est besoin d’être un expert en optique, le bon sens suffit. Ainsi, vous jugerez de la qualité de la finition, et vous constaterez l’absence de bavures de matière, de défauts de surface et d’irrégularité de couleur. Côté verres, vous devrez constater une belle couleur des traitements de la surface externe des lentilles, en les regardant sous un angle d’environ 45°. Cette étape franchie, la suivante sera celle de la manipulation. Rares sont les appareils qui ne nécessitent pas d’ajustements au cours de leur utilisation. Mise au point, réglage du grossissement, et écartement des corps optiques dans le cas de jumelles. Ne laissez rien passer, car c’est là que vous appréhenderez le critère fondamental : la qualité mécanique de construction. Ensuite, il faudra tester, grandeur nature. L’essai est donc indispensable. Dans tous les cas, qu’il s’agisse de lunette de visée, de jumelles, de longue-vue, il faut adapter l’appareil à sa vue en utilisant la correction dioptrique. Dans le cas d’une lunette de visée, c’est voir le réticule très net. Dans le cas de jumelles, c’est pire, car nos deux yeux ne sont jamais parfaitement identiques. Le dernier point concerne la masse. Le verre optique est très lourd. Donc si vous avez en main un appareil trop léger, il est forcément fabriqué avec des matières de synthèse transparente, en substitut du verre… Enfin, le reste est du domaine du subjectif, car l’instrument doit être confortable durant l’observation, c’est fondamental…
Si certains préfèrent en avoir un pour la chasse et un autre pour la table, d’autres pensent qu’un seul couteau bien conçu, permet de tout faire. De la tranche de saucisson, à l’éviscération d’un animal, le couteau polyvalent existe, il faut donc le dénicher. Tentons de faire la liste des services d’un couteau complet. Cette énumération n’étant pas exhaustive, vous aurez, selon vos habitudes et conditions de chasse, probablement d’autres besoins.
A vous donc de compléter cette liste… Un bon couteau polyvalent sera alternativement, au cours d’une journée de chasse :
Dans l’étape suivante, vous prendrez en compte, pour avancer dans votre choix, des éléments suivants : la forme, le manche, les dimensions, la robustesse, les accessoires, mais surtout de la qualité de la lame. Ne cédez en rien sur :
- le taux de carbone : un taux élevé apporte la dureté de la lame et la qualité de coupe,
Selon son poids, pour déplacer un animal mort, vous aurez deux possibilités : soit le porter, soit le tracter. Dans le premier cas, et selon le terrain et la distance à parcourir, une charge d’une trentaine de kilos est envisageable si vous avez un sac à dos muni, soit d’un support métallique, soit d’une poche à gibier. Une solide cordelette nylon maintiendra les membres et la tête, toujours enclins à créer un balancement. Dans le second cas, si le poids est trop élevé, vous n’aurez d’autre possibilité que de tracter votre gibier. Un harnais vous y aidera mais prévoyez un lien de cou, de préférence une sangle assez large (2 à 3 cm) que vous passerez derrière les oreilles de l’animal, ou autour du boutoir et derrière les défenses pour un sanglier armé. Avec la cordelette, vous immobiliserez ses membres antérieurs le long du corps de façon à ce que le profil de traction soit toujours le plus fin possible. Une autre possibilité, si le terrain est peu pentu, est de fabriquer une luge de fortune. Il vous faudra couper (si le propriétaire du bois l’autorise), trois ou quatre branches basses, de préférence de résineux, incurvées à la base, de 1 à 1,5 mètre de longueur. Assemblées par leur pied, les branches de ce traineau formeront un véritable tapis, très résistant et d’une qualité de glisse exceptionnelle, sur lequel vous placerez votre gibier. Si le trajet est long, prévoyez quelques branches supplémentaires que vous remplacerez en cours de chemin… si nécessaire. Souvenez-vous et cette liste n'est pas exhaustive : couteau avec lame-scie ou scie,
Kenetreck vient de présenter son nouveau sac de poitrine, version camo. Ce sac garde vos jumelles en sécurité et à portée de main, sans les enfouir dans un sac à dos ni les suspendre à votre cou, provoquant un engourdissement. En plus de les garder protégées et sécurisées, ces packs disposent également de poches idéales pour transporter les « indispensables » des chasseurs à l’approche ou à l’affût. Tout y trouvera sa place : permis de chasser, bracelets de marquage du gibier, GPS, appareil photo, munitions supplémentaires, lampe frontale et piles, couteau, outil multifonctions, kit boisson et coupe-faim. Considéré (par son fabricant) comme le meilleur pack actuellement sur le marché, le « Large Bino Chest Pack camo » est conçu pour les systèmes optiques jusqu'à 10x50, et dispose, pour les jumelles, du « Bino Tether System » (système d’attache) pour plus de sécurité. Le compartiment principal mesure (en pouce) 6,75 de haut, 6,5 de large et 3,5 de profondeur. Les mesures du compartiment avant sont d'environ 4,5 de haut, 6 de large et 1,5 de profondeur. Quant aux compartiments latéraux, ils font 2,5 de large et 1 de profondeur. Le « Large Bino Chest Pack camo » est fabriqué aux Etats-Unis. Prix approximatif, selon diffuseur : 126 $
Une nouvelle gamme de vêtements et accessoires rafraîchissants vient d’être lancée par G-Heat. Déjà à la pointe du progrès avec ses vêtements chauffants pour l’hiver, la marque propose cette fois une gamme été, destinée à ceux qui participent aux battues estivales, ou qui pratique l’approche ou l’affût. Gilets, casquettes et même serviette complèteront un équipement confortable et sain, pendant, et au retour de chasse. Grâce à trois technologies innovantes « Phasecool », « Jadecool » et « Polycool », les vêtements et accessoires rafraîchissants G-Heat permettent de réguler la température corporelle, réduire le stress thermique en régulant la température corporelle, par absorption de la transpiration. Fabriqués sans aucun chimique, ce qui met à l’abri des allergies, ces vêtements s’adaptent à toutes les morphologies. Sur le plan technique, le système « Jadecool » est basé sur l’incrustation de microcristaux de jade. Ils ont la caractéristique d'accélérer le processus naturel de l'évaporation en dissipant plus rapidement la chaleur. La baisse de température est de l’ordre de -10 à -15°, ce qui, sous un soleil de plomb apporte un confort apprécié. Quant au système « Polycool », il concerne l’intégration d’une fibre polymère, hautement absorbante, qui retient l'eau dans la doublure du vêtement et prolonge le processus naturel d’évaporation.
Toute chambre froide destinée à recevoir du gibier répond à la définition d'un centre de collecte. Elle doit donc être déclarée, selon les modalités prévues dans le formulaire Cerfa 13984. L'exploitant d'un centre de collecte doit respecter les dispositions de l'annexe I du règlement (CE) N° 852/2004 et les dispositions générales du code rural et de la pêche maritime, en particulier :